Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu..." Je trouverai un chemin, ou j'en ferai un... "Le jour se levait sur les terres du Naldor, éclairant le monde d’une clarté fraiche, comme si elle signifiait le renouveau, la naissance d’une nouvelle journée. C’était ainsi qu’allait la vie. Chaque soir, le soleil sombrait à l’ouest, mourant noyé dans les mers occidentales agitées, abandonnant l’univers dans une profonde noirceur qui pouvait cacher bien des choses. Et chaque matin, la vie reprenait son cours, retrouvant son souffle dans la lumière de l’astre diurne. Si l’on disait que le bien trouvait sa source dans le rayonnement et le mal dans l’obscurité, il y avait certaines personnes qui ne s’en souciaient guère, le bon et le mauvais se trouvant, à leurs yeux, dans le cœur des gens et non dans les différents moments de la journée…Une brise douce et légère filait entre les arbres de la forêt d’Erys, sifflant dans les troncs, frottant l’écorce et faisant frémir les épais feuillages de cette forêt dense. La région elfique était connue pour l’importance de la flore et de la faune qu’elle abritait ainsi que de la magie qui y régnait. Ils n’étaient pas rares ceux qui s’aventuraient ici en quête de réponse, en quête de pouvoir ou de choses dont personne ne pouvait soupçonner l’existence. Heureusement, tous n’étaient pas tous semblables. Les elfes vivaient ici en harmonie avec la nature, acceptant et côtoyant un des clans de silrïndiens qui peuplait leurs terres. Les deux races ne demeuraient pas ensemble mais c’était une relation amicale qui les liait. Et puis il y avait celle qui avait partagé son cœur entre ces deux peuples Elënna. Cependant, à ce jour, elle avait décidé de quitter les elfes, non pas pour rejoindre son clan natal mais pour découvrir le monde qui l’entourait. Maintenant seule, elle parcourait les terres elfiques, cherchant à connaître son continent avant d’aller à la rencontre des autres présents dans le faisait plusieurs jours que la jeune femme avait laissé derrière elle le village d’Edoras ainsi que ses parents adoptifs. C’était donc en solitaire que la belle explorait les terres qui l’avaient vu grandir et qu’elle en apprenait un peu plus sur elle-même jour après jour. Elen réfléchissait beaucoup, pensant à son passé, ce qui avait pu se passer dans sa vie et surtout, à son avenir, ce qu’il adviendrait d’elle lorsqu’elle aurait exploré le monde ou même ce qui pourrait bien lui arriver lors d’une de ses expéditions. Si la peur aurait dû lui peser, lui faire comme une boule au creux de son ventre, il n’en était rien. La tête haute et le buste bombé, la brune avançait fièrement à la rencontre de son destin, son sourire ne quittant pas les traits fins de son visage. Pour le moment, elle n’avait rencontré personne et c’était mieux ainsi. Elle se surprenait à parler seule ou même rire de ses pensées, de ses souvenirs. La solitude commençait à se faire pesante, elle qui n’avait jamais ressentie ce sentiment à part la nuit où ses parents avaient été une journée de marche éprouvante, Elënna s’était tapie dans des fourrés, attendant qu’un animal pointe le bout de son nez. Son arc en main et le soleil qui se trouvait dans son dos et se couchait ne pouvait que l’aider, éclairant les bois comme pour lui indiquer ou regarder. En effet, après quelques minutes d’attente, un cerf aux bois imposants apparut de derrière un arbre au tronc trop épais pour être une jeune pousse. Mâchonnant de l’herbe, l’animal ne semblait se douter de rien, l’air nonchalant et serein. La chasseuse banda son arc, retenant sa respiration pour ne plus bouger et lâcha la corde d’un coup sec. La flèche ne rata pas sa cible et alla se planter directement dans le cœur de l’herbivore. Attrapant la dague qui trônait à sa ceinture, la jeune femme se redressa rapidement, bondissant vers le cerf pour achever ses souffrances et lui trancher la gorge. Posant sa main sur les yeux de la bête, Elen ferma les yeux et remercia Era, comme à son habitude, pour la nourriture qu’elle lui offrait. Puis elle prit soin de découper les morceaux de viande qu’elle pourrait manger, laissant la carcasse sous un tas de feuille, qui finirait certainement rongée par des loups ou autres carnivores qui pourraient se trouver dans le coin. Enroulant les pièces de chair dans des tissus qu’elle avait dans son sac, la belle finit par se relever, reprenant son chemin à la recherche d’un endroit où dormir maintenant que la lune commençait à se dresser dans le ciel…La silrïndienne marcha encore durant quelques minutes, sa vue perçante lui permettant de voir un minimum dans cette nuit qui commençait à se faire bien présente. Ses pas étaient souples sur l’herbe de la forêt mais ils rencontrèrent bientôt un sol rocheux et froid. Donnant un coup de pied dans un caillou, l’écho qui résonna ne fit que confirmer ce que penser la brune. Elle se trouvait à l’entrée d’une caverne. Avec un peu de chance, elle ne serait pas occupée et dans tous les cas, elle n’avait pas le temps de vérifier, il lui fallait se reposer pour reprendre sa route le lendemain matin. Elënna posa ses mains sur les parois qui se trouvaient devant elle avant de trouver une cavité qui l’abriterait pour la nuit. Ce fut ainsi que la belle se roula en boule au creux de la pierre, posant ses armes près de son corps, à portée de main. Un mince sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle fermait les yeux, dormant une seule oreille…Mais la nuit fut calme et douce. Si le vent semblait chanter contre la roche, il ne réveilla pourtant pas Elënna qui dormit comme une enfant, comme elle n’avait pas dormi depuis longtemps. Le jour se levait enfin dans cette lumière à la fois éclatante et paisible, la jeune femme ouvrant les yeux en harmonie avec l’aurore. S’extirpant de sa cachette, elle s’étira tel un chat, sa fine et petite silhouette se contorsionnant face à ces quelques étirements qu’une personne peu agile n’aurait pu faire. La belle bailla une dernière fois avant de lever la tête pour observer le paysage qui l’entourait. Etrangement, même si elle se trouvait dans une caverne, le soleil était bien présent. La bouche bée et les yeux grands ouverts, ce fut avec un émerveillement certain que la silrïndienne découvrit ce qui l’entourait. Face à elle, sur un promontoire, se tenaient des ruines immenses faîtes de pierre mais recouvertes de mousse épaisse par le temps. Elen replaça ses lames et son arc dans son dos, glissant son sac sur son épaule avant de s’avancer doucement vers les vestiges qui semblait trôner là depuis de nombreuses années…Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente L'air. Le vent. Le ciel. Asmaroth fut envahit par un profond sentiment de nostalgie quand il sentit le contact rafraîchissant de la brise tout autour de lui. Depuis combien d'années avait-il dormi? Il ne le savait pas lui-même mais cela importait peu pour lui. Il se sentais revigoré par ce long sommeil, près à en découdre avec les obstacles qui se dresserait sur sa seul véritable problème qui se présentait au dragon était celui de sa destination. Le dragon n'avait cessé d'errer sans but depuis son réveil, il était temps pour lui de choisir un cap. Il n'avait pas posé les yeux sur le Naldor depuis tant d'années et brûlait a présent de voir comment le monde avait changé durant son sommeil. Après mûres réflexions, Asmaroth choisit de se laisser porter par les vents jusque dans les terres elfiques. La traversée de la Mer Nordique ne lui prit que quelques jours et se fut avec beaucoup de plaisir qu'il s'abîma dans la contemplation des rivages verdoyant d'Enelis. Le dragon se savait proche de la cité elfique d'Edoras. Cette pensée fit resurgir de vieux souvenirs dans la mémoire d'Asmaroth. Alferia et Tarwin Enalion, les elfes jumeaux. Les deux premiers elfes qu'il avait rencontré et qui lui avait donner le sobriquet qu'il affectionnait même en avoir conscience, Asmaroth retourna à la rivière où il les avait rencontré et y fit de nouveau une halte. Peut être inconsciemment rêvait-il de les revoir? Le dragon savait que cela lui était proscrit. Il ne pouvait pas prendre le risque d'approcher de trop près des habitations sous peine d'éveiller l'intérêt de quelques chasseurs de dragons. Aussitôt eut-il fini de s'abreuver il repris son envol en direction du l'altitude vertigineuse à laquelle il volait pour passer inaperçu, Asmaroth ne pouvait s'empêcher d'observer le paysage qui défilait sous lui. Les gigantesques forêts d'Enelis paraissaient immenses même vue des cieux. Rien ne l'étonnait plus que l'Arbre Nelia qui surpassait tout les arbres alentours par sa taille titanesque. Le dragon n'avait jamais pu l'observer de plus près quoiqu'il n'aurait pas dit non si on lui avait proposer de piquer un somme à l'ombre de la canopée de l'arbre. Pour autant, Asmaroth ne s'attarda pas non plus, et continua ses pérégrinations dans le ciel des terres n'est que lorsque la faim finit par se réveiller que le dragon argenté se posa de nouveau. La forêt l'environnait de toute part se qui rendait sa progression plus lente que d'ordinaire et ne l'aida pas lorsqu'il se mit en chasse. Asmaroth avait avisé un cerf imposant à proximité d'un cours d'eau et qui faillit lui échapper. Après une bonne minute passée à sinuer entre les arbres pour attraper la créature paniquée, le dragon parvint à mettre le cerf à portée de ses flammes et grilla la bête sur place, carbonisant au passage le tronc de quelques arbres, sans pour autant les embraser. L'odeur de chair brûlé attisa sa faim aussi après son habituelle prière envers la bête qu'il venait de tuer, Asmaroth s'empressa d'engloutir son repas. Une fois repu, le dragon plongea sa tête dans le cours d'eau pour nettoyer les traces de graisse sur sa gueule et pour se désaltérer. Il fut cependant arrêté par quelque chose qu'il aperçut du coin de l’œil. L'entrée d'une curiosité l'emporta sur la prudence et il décida de s'approcher de cette grotte pour y jeter un œil. D'énormes ruines lui faisait face, illuminées d'un éclat émeraude dû aux mousses qui les recouvraient et le tout contrasté par la lumière chaude et orangée du crépuscule qui filtrait au-travers de crevasses présentent dans la voûte de la caverne."Des ruines dans une caverne..." marmonna Asmaroth en dragon n'hésita pas une seule seconde avant de franchir le seuil de la caverne. Les ruines étaient érigées sur un promontoire rocheux séparé par une rivière souterraine. C'est à la nage qu'Asmaroth rejoignit l'autre rive. Maintenant qu'il était au pied de ces-dernières, il mesurait pleinement l'ampleur du gigantisme de l'ouvrage. Même lui qui pourtant n'étais quelqu'un de petit était largement dominé par les grandes arches qui trônaient devant lui. Se promener au milieu de ce décor fit perdre toute notion de temps à Asmaroth qui, constatant que la nuit était tombé, finit par choisir de passer la nuit dans ces réveil se fit en tout douceur, dès lors que les rayons du soleil se mirent à frapper ses écailles et le réchauffer. Il se sentais frais et dispos pour la première fois depuis son réveil des terres gelées tant et si bien qu'il laissa échapper un bâillement qui se répercuta en échos sur les parois de la caverne. Bâillement qu'il stoppa net quelques instants plus tard, quand une odeur familière lui chatouilla les naseaux. C'était une odeur humaine, du moins en était-elle proche car à celle-ci se mêlait les effluves plus puissantes d'un regard du dragon se reporta aussitôt vers la seule voie de sortie de la caverne et y aperçut une silhouette humaine. Toute retraite furtive était impossible. Asmaroth maudit son imprudence qui l'avait conduit à cette situation. Reculant pas à pas, le dragon se tapit dans les ombres des ruines et pria silencieusement pour que son bâillement ait ôter l'envie de visiter les lieux du cœur de l'inconnu..."Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante " La peur... Une arme primitive mais efficace... "Les rayons du soleil pénétraient dans la caverne comme s’ils s’agissaient de la lumière divine elle-même qui honorait le monde de sa chaleur. La nature était belle, la nature était tout simplement merveilleuse. Plus les jours passaient et plus Elënna paraissait s’en convaincre. Elle l’avait appris lorsqu’elle était enfant mais aussi en grandissant parmi ces êtres aux oreilles pointues et aux traditions diverses et variées. Chaque nouveau regard posé sur la végétation abondante d’Enelis apportait du baume au cœur de la jeune femme. Si elle avait quitté sa famille adoptive, elle savait qu’ils la suivraient partout où elle irait, la surveillant par le biais de cette mère nature qui faisait de tous les paysages une beauté incomparable…L’horizon se dessinait devant la silrïndienne, s’il n’était pas lointain, il était éblouissant. Là encore, Elen n’en revenait pas ses yeux. Les ruines aux courbes elfiques trônaient avec grâce et élégance, n’ayant perdues aucunement leur prestance avec les années, et luisaient sous les lumières de l’aurore, la mousse verte qui les recouvrait par endroit leur permettant de se fondre toujours plus dans le décor. Si le fin duvet vert se confondait avec la végétation tombante des cailloux de la caverne, les vestiges de pierre semblaient faits de la même roche que celle qui composait l’immensité qu’était la grotte. L’harmonie était telle qu’elle paraissait avoir été choisie par les dieux et déesses en personne. Il faut dire que la race elfique avait toujours su se différencier des autres grâce à son architecture noble et élégante. Il n’y avait aucun doute, ces quelques morceaux de murs encore debout avaient été bâti par le peuple qui vivait sur ces terres même si cela semblait faire de nombreuses et nombreuses années que personne n’avait remis les pieds s’était rapprochée des décombres mais il restait encore une grande distance qui l’empêchait de pouvoir poser une main sur cette pierre qui semblait à la fois lisse et douce mais froide et saisissante. En effet, les ruines verdoyantes se trouvaient sur une petite île, encerclées d’un court d’eau qui ruisselait lentement à travers la caverne. Un léger clapotis résonnait contre les parois de l’abri naturel, l’eau douce glissant sur de petites roches qui avaient dû se détacher du plafond qui était à d’innombrables mètres au-dessus. Toute forme de vie était totalement inexistante et le seul bruit de sa respiration donnait l’impression à la chasseuse d’inhaler de l’oxygène comme après une course son sac en peau sur son épaule, la belle prit dans ses mains son arc et ses épées elfiques. Elle ne voulait pas risquer de les abîmer lorsqu’elle entamerait la traversée. Levant le visage légèrement comme pour humer les environs, il ne semblait y avoir rien d’anormal alors elle s’avança toujours plus. L’eau était fraîche, ce qui surprit la jeune femme mais elle ne se laissa pas démonter pour autant. Plus elle pénétrait dans ce liquide vital, plus les parties de son corps étaient anesthésiés, seuls quelques picotements se faisant ressentir aux extrémités de ses jambes. Elen serra la mâchoire, s’empêchant ainsi de claquer des dents face au froid mordant de l’eau. Tout le bas de son corps était maintenant immergé mais elle n’était pas encore arrivée. La femme-panthère grogna doucement, s’injuriant intérieurement d’être aussi curieuse et d’avoir tant voulu aller voir de plus près. Dans tous les cas, maintenant que le trajet était commencé, il ne servait plus à rien de reculer. Levant ses bras au-dessus de sa tête pour protéger ses armes, la demoiselle laissa échapper un hoquet lorsque tout son buste fut noyé dans ces eaux glaciales. Etonnamment, elle accéléra l’allure et retrouva rapidement le sol qu’elle affectionnait tant. Après tout, elle était une silrïndienne terrestre et non aquatique, sinon elle l’aurait certainement apprécié ce petit ses affaires sur la rive, Elënna s’ébroua comme l’animal qu’elle était au fond d’elle, se tapotant sur le corps pour avoir l’impression que son sang circulait de nouveau. Retirant rapidement ses habits trempés, la jeune femme les posa sur une pierre qui avait la chance de dorer sous les rayons matinaux du soleil. Elle s’enroula dans sa cape en peau, attendant patiemment que l’astre lumineux réchauffe ses vêtements. La silrïndienne s’assit, collant ses jambes à sa poitrine et les enroulant de ses bras, se balançant légèrement pour sentir de nouveaux toutes les parties de son corps. Quelques secondes passèrent, voire quelques minutes et le silence qui régnait en maître sur la caverne fut brisé d’un coup, d’un seul. Un grondement venait de s’élever dans la grotte, le bruit rebondissant sur les parois et formant un écho qui rendait le son encore plus effrayant. Aussitôt, la jeune femme bondit sur ses pieds, saisissant une de ses lames et se mettant sur la défensive, pointant son arme vers un ennemi invisible. D’où venait ce rugissement et qui avait bien pu faire un tel bruit ? Un rictus s’était dessiné sur les doux traits de la belle qui ne bougeait plus, scrutant les environs et guettant un quelconque signe de vie. La sortie n’était pas très loin. Il suffirait de prendre ses affaires et de courir vers l’entrée qui se dessinait non loin, sans oublier l’eau glacée avant. Une fois de plus, Elen se silence revint doucement, les échos du rugissement se calmant peu à peu. Pourtant, cette absence de bruits n’était plus reposante et sereine, au contraire. Elle avait maintenant quelque chose d’effrayant, qui ou quoi pouvait bien se dissimuler dans cette caverne qui pouvait abritait un village entier. Elënna regarda son attirail qui n’avait même pas eu le temps de sécher un millième de seconde. Etait-il prudent de laisser toutes ses biens ici ? Ronchonnant, la belle laissa tomber sa cape sur le sol, dévoilant son corps nu l’espace d’un instant alors que celui-ci se transformait déjà . En à peine quelques secondes, une fourrure couleur ébène recouvra la silhouette qui se penchait vers le sol, se retrouvant à quatre pattes alors que la colonne vertébrale de la demoiselle se tordait pour lui donner son aspect animal. Seuls les yeux couleur noisette d’Elënna trahissait maintenant qui elle était. La belle jeune femme avait laissé place à une panthère noire au corps élancé mais aux crocs acérés et aux griffes aguisées. Si elle devait rencontrer quelqu’un qui s’y connaissait en faune, celle-ci remarquerait certainement qu’elle était légèrement plus grande que les panthères les muscles du corps de l’animal étaient tendus, prêts à réagir si le fauve devait bondir et s’enfuir rapidement. Chaque pas de la bête était si discret que l’ouïe d’un humaine n’aurait pas su déceler sa présence. La bouche légèrement entrouverte, la panthère humait l’atmosphère. Elle n’était plus seule et le savait car une odeur de soufre l’entourait. C’était la première fois que la silrïndienne sentait un fumet tel que celui-ci. C’était à la fois étonnant et inquiétant, qui pouvait bien savoir à qui elle avait à faire. Le fauve s’avançait vers les ruines, ne leur accordant plus un seul regard pour le coup, suivant la piste qui lui chatouillait le museau. Les vestiges l’entouraient, trônant au-dessus de sa tête alors qu’elle continuait sa route, se rapprochant d’un des coins sombres de la grotte. Le parfum inconnu était encore plus prononcé et ses oreilles plaquées sur son crâne ainsi que sa gueule entrouverte trahissait la tension qui régnait dans le corps de l’animal sauvage. La chose n’était plus très loin et elle le savait. Elënna fit quelques pas de plus, remarquant une ombre massive dissimulait dans l’obscurité de ce coin de la caverne. Avançant légèrement sa tête pour mieux voir dans le noir, la panthère fit un bond lorsqu’un œil rouge et immense s’ouvrit face à elle à à peine quelques mètres devant. Le fauve recula rapidement de quelques pas, feulant comme un beau diable, son poil s’hérissant sur sa colonne vertébrale et sa queue gonflant sous la peur. La belle se tapit sur le sol, des grognements s’échappant de sa gueule alors que la silhouette se détachait peu à peu du fond noir…Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente Plongé dans les ombres les plus obscures de la caverne, Asmaroth n'avait pas perdu une miette de l'étrange spectacle dont il avait été le témoin. La silhouette abandonna promptement sa cape exposant sa peau nue au soleil. Il s'agissait assurément d'un femelle, le dragon si connaissait suffisamment en anatomie humaine pour savoir que c'en était une. Néanmoins, il ne s'était pas attendu à voir la jeune femme céder la place à une panthère au pelage noir anormalement les premières secondes d'étonnement, le dragon compris que la femme comptait apparemment chercher l'origine du grondement à l'aide du flair de cette étrange forme animal. Sans attendre un instant de plus, il s'enfonça dans les ombres et pria pour que ses écailles argentées ne rencontrent pas un éclat de soleil qui le trahirait aussitôt. Pour plus de sûreté, il choisit de fermer ses yeux. Par le passé, il avait appris à ses dépens que ses yeux grenat brillaient dans l'obscurité et pouvait tout aussi bien divulguer sa présence que de la lumière se reflétant sur ses il resta dans cette état, aussi inerte qu'une statue de pierre, attendant désespérément qu'un miracle détourne le félin de sa traque. Malheureusement, Asmaroth doutait qu'il y ait un moyen pour que le fauve ne s'intéresse pas à son odeur. Après tout cela revenait au même que de demander à un nain d'ignorer une montagne d'or qui se trouverait juste sous son dragon ne cessait de rester concentrer sur les bruits de pas presque inaudible du félin qui, inexorablement, continua à s'approcher dans sa direction. Bien qu'il mourrait d'envie d'ouvrir les yeux pour voir l'étrange être mi-animal, mi-humain qui s'avançait, Asmaroth se força tant bien que mal à les garder la présence du fauve continuait de se faire plus insistante de minutes en minutes. N'y pouvant plus, Asmaroth ouvrit les yeux et son regard croisa aussitôt celui de la panthère. La réaction de celle-ci fut des plus évidente et c'est sans surprise que le dragon la vit prendre peur et feuler pour tenter de le dissuader d' laissa échapper un long soupir rauque. Jouer à cache-cache était inutile à présent. Lentement, le dragon se redressa, quittant le couvert des ombres. Certaines de ses écailles captèrent la lumière du jour et se mirent à briller de milles feux apportant au passage un peu de lumière. Le regard toujours poser sur le fauve, il décida de s’asseoir, enroulant au passage sa queue autour de ses pattes."Cessez ce petit numéro, je n'ai nullement l'intention de vous attaquer." grommela Asmaroth en elfique, espérant que la panthère connaissait cette langue."Je m'excuses pour tout à l'heure. Je ne comptais pas vous effrayer lorsque j'ai poussé ce grondement. A vrai dire, je ne savais même pas que vous vous trouviez dans la caverne. J'ai néanmoins pu constater que vous n'êtes pas qu'un simple fauve. Qu'êtes-vous donc au juste?""Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth Messages 199Date d'inscription 30/07/2013Age 30Vos personnages Elënna GlaëwenHumeur Bouillante " La belle et la bête... "L’inconnu avait une chose d’excitant, presque autant que l’idée de partir à l’aventure si l’on ne combinait pas les deux pour une quête où sa vie serait en péril. Dans la vie, il y avait deux types de personnes, ceux qui voulaient découvrir le monde et mettaient leur destin dans les griffes du destin et ceux qui ressentaient la peur qui pouvait venir de tout comme de rien. Ces derniers restaient dans leur village, ne voyant que les mêmes choses tout la vie, vivant dans une routine, un quotidien presque ennuyant. Pourtant, si ce train-train leur déplaisait, il s’en accommodait, la peur de ce fameux inconnu prenant le dessus sur toute chose. S’il y avait bien une chose qu’Elënna n’aurait pas pu faire, c’était rester auprès de ses parents adoptifs tout sa vie et ne pas pouvoir découvrir le monde qui l’entourait. Cependant… Cela devait-il être en échange de sa vie que l’aventure s’ouvrait à elle ?En effet, la peur venait de prendre d’assaut le cœur de la panthère qui feulait comme un démon sur l’énorme bête qui se cachait là , tapie dans l’ombre et certainement prête à lui sauter dessus, n’attendant qu’une chose, la dévorer toute crue. Elen avait beaucoup lu, depuis sa plus jeune enfance et encore plus lorsqu’elle s’était décidée à prendre le large, laissant ceux qui l’aimaient derrière elle. Après la découverte de son prénom silrïndien, elle s’était renseignée sur tout et rien, lisant archives sur archives, contes sur contes et mémoires sur mémoires. C’était comme si elle connaissait tout de cet univers qui était le sien. Pourtant, maintenant qu’elle faisait face à cette chose, elle commençait à douter de son savoir et à se prendre une simple enfant ignorante et donc que le poil du fauve avait gonflé, prenant un volume inimaginable et sur les dents acérées de celui-ci furent dévoilés. Tapie sur le sol froid de la caverne, Elënna n’osait plus bouger, un grondement résonnant dans sa cage thoracique, faisant le yo-yo dans les sons graves et aigus. Ses oreilles tapies sur son crâne trahissaient sa surprise et la certaine crainte qu’elle pouvait ressentir face à cette chose qui faisait une centaine de fois sa taille. La jeune femme qui avait pris sa forme animale était persuadée que l’odeur de sa peur empestait à des kilomètres à la ronde mais ce n’était pas tous les jours qu’un tel spectacle se déroulait devant ses yeux. Cependant, cette angoisse laissa rapidement place à autre chose l’émerveillement. Un long soupir rauque venait d’être poussé par le monstre qui sembla se dérouler en l’espace de quelques secondes, son long corps de mastodonte s’étirant et le rendant toujours plus impressionnant. Le regard doré de la belle ne lâcha pas celui rouge de la bête qui ne cessait de s’élever vers le plafond de la grotte." Cessez ce petit numéro, je n'ai nullement l'intention de vous attaquer. "De l’elfique ? Intéressant, très intéressant même. Une des oreilles de la panthère remua doucement comme pour montrer la curiosité qui commençait à prendre la place de la peur. Le grand-monsieur-serpent avait dit qu’il ne l’attaquerait pas, il n’y avait plus qu’à espérer que le mensonge n’était pas une de ses qualités." Je m'excuse pour tout à l'heure. Je ne comptais pas vous effrayer lorsque j'ai poussé ce grondement. A vrai dire, je ne savais même pas que vous vous trouviez dans la caverne. J'ai néanmoins pu constater que vous n'êtes pas qu'un simple fauve. Qu'êtes-vous donc au juste ? "Si elle l’avait pu, Elënna aurait haussé un sourcil face à l’intérêt que lui montrait la bête. Pourtant, elle était dans le même cas. Se ressaisissant légèrement, la fauve noire s’assit sur son postérieur, se donnant quelques coups de langue sur le poitrail pour lustrer et aplatir sa fourrure qui avait été aussi apeurée qu’elle à l’idée de finir casse-croûte pour gros serpent. Un serpent ? Pas exactement. La demoiselle ne savait même pas si l’on pouvait qualifier cette race de reptile, il faudrait qu’elle lui pose la question. En effet, maintenant qu’elle remettait de l’ordre dans ses pensées, les souvenirs lui revinrent en mémoire. Un dragon, voilà qui il était. La belle avait pu lire des tonnes de choses sur eux sans vraiment que tout soit dévoilé. Ils étaient un mystère vivant bien que certains écrits racontaient qu’ils n’étaient plus de ce monde. Pourtant, il n’y avait aucun doute, la silrïndienne ne pouvait pas imaginer ce qu’elle avait devant elle, même son esprit imagé ne pouvait pas faire de telles dragon… Rien que ça. Une certaine joie brillait dans le regard de la panthère face à cette découverte qui resterait à jamais marqué dans son esprit. Enfin, celui-ci lui avait posé une question. Cependant, avant de lui répondre, elle voulait essayer quelque chose. Les différentes capacités de son don s’étaient toujours avérées marcher sur les humains, les elfes et les silrïndiens qu’elle avait pu croiser. La question étant de savoir si le dragon, lui, pourrait-il percevoir ce qu’essayait de lui faire comprendre le fauve. Elënna n’essaya pas de ressentir les émotions du grand reptile, mais elle voulait faire fonctionner l’autre côté de son don, celui qui lui permettait d’ancrer des images dans l’esprit de son interlocuteur. Plongeant son regard dans celui de la bête à écailles, la silrïndienne se concentra rapidement, n’ayant toujours pas répondu au dragon. Peu à peu, les images glissèrent dans son esprit, caressant peut-être celui de son nouveau compagnon de la journée. La belle montrait son ancien clan de silrïndiens et les différentes personnes se transformant en un animal, expliquant bien au reptile qu’elle n’était pas la seule. Quelques secondes passèrent et elle ne sut pas si cela avait marché ou non. Le dialogue serait tout-de-même difficile à établir comme cela, l’image de ses affaires s’insinua dans ses pensées, essayant de faire comprendre qu’elle allait revenir. Bondissant vers ses affaires, Elen ne jeta même pas un regard en arrière. Quelle chance. Elle n’en revenait pas. Elle pensait devoir parcourir le monde entier pour voir de telles choses et voilà que sur le continent elfique-même, elle avait croisé la route d’un dragon. Etait-ce un hasard ? Une coïncidence ? Ou bien le destin ? Dans tous les cas, la belle y voyait là une chance incroyable, une occasion à ne pas louper. Rejoignant ses habits maintenant secs, la jeune femme abandonna sa forme animale en deux secondes pour se vêtir de nouveau. Un air béat se dessina sur son visage lorsqu’elle mit ses vêtements chauffés par les rayons du soleil, l’odeur de celui-ci les ayant parfumés d’une odeur du mois de Noma. Une fois toutes ses affaires sur son dos, la jeune femme repartit en sens inverse, trottinant vers le dragon. Cette fois-ci, ce fut de ses yeux qu’elle admira la beauté de ce dernier. Quelques rayons de soleil venaient s’échouer sur ses écailles, les faisant miroiter et briller. Seulement un ou deux mètres séparaient maintenant les deux individus. Un sourire se dessina sur le visage de la belle." Je suis rassurée de savoir que vous ne comptez pas me croquer sans me demander mon avis auparavant. "Elle émit un petit rire, amusée et maintenant ravie d’avoir fait cette rencontre, la peur ayant complètement quitté son corps." Je me prénomme Elënna Glaëwen. Pour répondre à votre question, Sir Dragon, je ne suis ni humaine, ni animale. Je suis un peu des deux, tout simplement. Les autres races appellent la nôtre la race silrïndienne, nous sommes des silrïndiens. Cela fait maintenant quelques années que nous nous sommes dévoilés au monde. Et moi, à qui ai-je l’honneur ? "La brune n’avait pas eu peur d’expliquer sa nature étant donné que la plupart des races connaissaient maintenant l’existence de la leur. A priori, le dragon n’avait pas suivi les actualités de leur monde. Le visage levé vers la tête de ce dernier, Elen n’avait pas peur de se faire mal au cou, trop occupée à le détailler la moindre chose qui pourrait lui permettre d’en apprendre plus sur le colosse. Elle voulait tout savoir et sa curiosité maladive reprit rapidement le dessus." Dîtes-moi… Certains livres racontent que ceux de votre espèce ont tous été décimés. Ce qui est un mensonge bien entendu vu que vous vous tenez devant moi. Comment cela se fait-il donc ?Laozeto > " Diane fait de l'excellent RP... " Bisous ♪♫ Messages 233Date d'inscription 25/07/2013Age 31Vos personnages Asmaroth, Jëbryel Svorda, Isilthorn Brancemar, AntarèsHumeur Ardente C'est avec un certain soulagement qu'Asmaroth vit le fauve se calmer. Rien ne l'aurait plus chagriné que de devoir user de sa magie draconique pour instiller une peur profonde à l'animal afin d'obtenir pour obtenir son attention si jamais l'hystérie l'avait gagné. Quoiqu'il en soit, le félin se tut de lui-même et alla même jusqu'à commencer ce qui semblait être une séance de toilettage. Le dragon en resta songeur en constatant à quelle vitesse le fauve l'avait semble-t-il considéré comme un être amical. Asmaroth ne l'en tint pas pour autant rigueur et se contenta d'attendre patiemment la réponse à sa dragon n'eut pas à a languir très longtemps avant de redevenir le centre d'attention du félin. Celui-ci plongea son regard d'or dans les yeux d'Asmaroth et le dragon ressenti presque aussitôt le tourbillon de sentiments qui vibrait derrière ces pupilles fendues. La peur n'y avait pas sa place, bien au contraire. Le dragon aurait juré y percevoir un vif enthousiasme qui lui arracha un sourire."Allons bon. On dirait que je suis encore tombé sur quelqu'un qui parvient à perdre toute méfiance dès lors que je montre patte blanche..." soutint le regard du fauve de son regard grenat, bien qu'il commença à se sentir un certain malaise à lire les émotions de la créature sans que celle-ci ne se doute de rien. Il y avait fort à parier qu'elle n'était pas familière de l'étrange instinct que les dragons possède lorsque l'on croise leur regard. Néanmoins, son malaise ne s'éternisa vraiment comprendre comment cela était possible, Asmaroth eut en effet la surprise de voir des images se former dans sa conscience sans qu'il les ai même pensé. Passé le choc des premiers instants, le dragon comprit qu'il ne pouvait s'agir que d'un étrange don que possédait vraisemblablement le fauve et qui lui permettait de s'exprimer sans la parole. Conscient que son esprit luttait pour se fermer à cette intrusion, Asmaroth ferma ses yeux et commença lui aussi à se concentrer, faisant le vide dans sa tête afin de se focaliser sur ce que voulait lui montrer la premières images qu'il identifia représentait une sorte de campement humain bordé de toute par par une immense forêt. Asmaroth n'eut aucun mal à situer cette emplacement sur Enelis, la luxuriante végétation qu'il y voyait servait aisément de signature. La suite fut cependant plus intéressante quand elle lui montra diverses personnes tant des enfants, que des adultes et des vieillards des deux sexes qui se changeaient en bêtes sauvages. Toutes les transformations auxquelles il assistait était spectaculaire, l'une des plus impressionnantes étant sûrement celle d'un homme qui céda sa place à un ours immense. Asmaroth se mit à éprouver une curieuse fascination pour ces êtres capables de changer d'apparence. Malgré ses longues années de vie, le dragon n'avait jamais entendu parler de tels êtres. Certes, il ne lui était pas d'aller en ville pour glaner des informations et il arrivait souvent qu'il ne soit pas au fait des derniers ragots du Naldor. C'est souvent ce fait qui le poussait de temps à autre à croiser la route de vagabonds errants sur les sentiers abandonnés et de discuter avec eux des derniers sujets en vogue avant de les abandonné à l' dans ses propres pensées, Asmaroth ne se rendit compte que les images avaient cessé de se former dans son esprit que lorsqu'une nouvelle image s'y forma. Le dragon reconnut aussitôt l'endroit. Il s'agissait de l'endroit où le fauve avait laissé ses affaires humaines. Ayant une vague idée de ce que le fauve tentait de lui expliquer, Asmaroth ne fut pas surpris de le voir bondir en direction de ses n'attendit pas longtemps avant de voir le fauve reprendre des traits humains. Le dragon, était stupéfait de voir que des être dotés d'une nature duelle homme-animal pouvaient exister. Il avait bien sûr entendu parler des lycanthropes, ces humains condamnés à errer sous la forme de loup assoiffés de sang lors des pleines lunes. Mais ce que lui avait montré la panthère ne ressemblait en rien à cela. D'une part, ces gens ne se changeaient pas tous en loup et d'autre part, ils semblaient pouvoir se transformer à volonté. C'est donc avec une impatience savamment dissimulée qu'Asmaroth attendit le retour de l'étrange créature et des réponses qu'elle pouvait lui apporter."Je suis rassurée de savoir que vous ne comptez pas me croquer sans me demander mon avis auparavant." dit-elle à son retour et laissant échapper un rire enjoué. "Je me prénomme Elënna Glaëwen. Pour répondre à votre question, Sir Dragon, je ne suis ni humaine, ni animale. Je suis un peu des deux, tout simplement. Les autres races appellent la nôtre la race silrïndienne, nous sommes des silrïndiens. Cela fait maintenant quelques années que nous nous sommes dévoilés au monde. Et moi, à qui ai-je l’honneur ?"Asmaroth s'apprêtait à répondre à la jeune femme mais celle-ci ne semblait décidément pas à court de salive car elle repris sans même attendre une quelconque réponse de la part du dragon."Dîtes-moi… Certains livres racontent que ceux de votre espèce ont tous été décimés. Ce qui est un mensonge bien entendu vu que vous vous tenez devant moi. Comment cela se fait-il donc ?"Profitant d'un arrêt dans le flot de parole de la jeune Elënna, Asmaroth s'empressa de répondre à ses questions avant d'être assailli par encore plus d'interrogation."Tout d'abord, je suis enchanté de vous connaître, demoiselle Elënna. Pour répondre à votre première question, sachez que je ne donne pas mon nom véritable au premier venu. Je suis plus connu sous le sobriquet que mon donné les elfes, il y a de cela plusieurs siècles à présent. Laris Nalir, l'Ombre Flamboyante. Tel est ce surnom." murmura Asmaroth. "Quant à la supposée extinction de ma race, vous avez effectivemment vu juste en décrétant qu'il s'agissait-là d'un mensonge."Le dragon ferma les yeux, se remémorant les enseignements de son père concernant le passé de son espèce. Lentement sa voix, s'éleva de nouveau."Néanmoins, elle se trouve réellement au bord de l'extinction. Cela est principalement dû à la grande guerre qui nous à conduit à perdre l'Orath et par la suite à la chasse que nous a livré les autres races du Naldor. Bons nombres d'êtres sur ces terres ne voient les dragons que comme d'énormes réserves d'artefacts magiques, d'autres ne pensent qu'à accrocher nos têtes dans leur maison, comme de vulgaires de chasse. Vous saurez sûrement étonné d'apprendre que mêmes les elfes participèrent à ces chasses..."Asmaroth se tut, hésitant à poursuivre sa tirade avant de finalement craquer."Mais la véritable raison, que les dragons préféreraient oublier, est le nombre de naissance si faible de nouveaux dragons. Le Naldor semble avoir choisit de nous rejeter,c'est pourquoi vous m'avez trouvé tapis dans les ombres. Ainsi, je me préserve des mauvaises rencontres, car il n'y a que de cette façon que je pourrait faire de vieux os ici-bas et que je pourrait par la même, tenter de redorer l'avenir de ma race."Asmaroth cessa enfin de parler et posa ses iris grenat sur la jeune fille. Il avait sûrement donné matière à réflexion à la jeune femme mais il s'interdit cependant de croiser le regard de celle-ci afin de ressentir ses émotions. Pour autant, le dragon ne pouvait s'empêcher de se demander comment la jeune silrïndienne allait réagir à ses réponses..."Aussi loin que se porte mes souvenirs, jamais je n'ai vue les hommes en paix. Je suis persuadé que ce n'est pas dans leur nature... Et c'est justement pourquoi ils devraient s'évertuer à la préserver." - Asmaroth
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Le bonheur est parfois caché dans l’inconnu », Victor Hugo. Le bonheur est défini, en littérature et en philosophie, comme un sentiment de satisfaction complète, un état de pleine conscience caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il se distingue de la joie et du plaisir, qui sont des émotions, des réactions éphémères et incontrôlables liées à un événement soudain. Depuis quelques années, la recherche du bonheur au travail est au cœur des préoccupations managériales. Mais est-il une responsabilité individuelle ou collective ? Les managers peuvent-ils réellement influer sur le bonheur au travail de leurs collaborateurs ? Quelles sont les moyens au service de l’entreprise pour améliorer le bien-être des salariés ? Voici quelques-unes des questions auxquelles nous allons tenter de répondre dans ce nouvel article. Sommaire Le bonheur au travail, utopie ou réalité ? Comment se rapprocher du bonheur en entreprise ? Créer des moments de bonheur au travail, la réponse d’Elstarecon Événements et Conseils Le bonheur au travail, utopie ou réalité ? De nombreuses études ont prouvé que le bien-être des salariés impactait positivement sur leur performance. Un salarié heureux est moins absent, plus investi et donc plus productif. Mais que signifie être heureux au travail » ? Il n’existe pas de définition universelle. Néanmoins, des outils permettent d’aider à uniformiser et catégoriser les attentes de chacun. Par exemple, Aristote pensait qu’il était possible de distinguer 3 grandes façons d’entendre le bonheur Plaisir, satisfaction des sens, avoir ce qu’on désire. Gloire, succès, reconnaissance sociale. Dimension divine, qui est à l’intérieur de soi et ne dépend pas des aléas du monde extérieur. D’un point de vue moins philosophique, Maslow a schématisé les besoins des Hommes en 6 catégories. Appliquée au monde de l’entreprise, sa pyramide pourrait montrer comment atteindre un sentiment de sérénité en comblant chaque besoin Besoins physiologiques avoir un salaire correct, permettant de se loger, se nourrir, etc. Besoins de sécurité posséder une stabilité d’emploi, un environnement et des conditions de travail sécurisants. Besoins d’appartenance être intégré dans une entreprise, un service ou un groupe de collègues. Être informé et participer à la vie de l’entreprise. Besoins d’estime être reconnu par son manager, ses collègues – exercer un métier utile, posséder un titre valorisant, exercer dans un espace de travail prestigieux. Besoins d’accomplissement de soi atteindre les objectifs fixés, se perfectionner, élargir ses compétences, devenir un expert dans son domaine, résoudre des problèmes complexes… mais aussi être autonome dans son poste. Ce qu’il en ressort, c’est que la définition du bonheur est propre à chacun. Néanmoins, il existe une aspiration commune à être heureux, présente dans la vie sociale comme dans la vie professionnelle. Alors est-il possible de rechercher le bonheur collectif au travail ? Que peuvent faire les entreprises et les managers pour rendre heureux leurs salariés ? Comment se rapprocher du bonheur en entreprise ? Depuis quelques années, une nouvelle fonction s’est invitée dans l’entreprise. Des Chief Happiness Officer CHO viennent renforcer les effectifs des start-ups comme des grands groupes. Leur rôle est de veiller au bonheur » des employés. Ce concept est né aux États-Unis, au sein du Groupe Google. Un ingénieur américain décide de concentrer ses efforts sur le développement du bien-être de ses collègues. Il crée le nouveau poste de Jolly Good Fellow » super bon camarade et devient le premier M. Bonheur. Qualité de vie au travail, convivialité, événementiel le scope de ses missions s’élargit au fur et à mesure que les attentes des employés grandissent. Son but ? Aligner les intérêts collectifs et individuels pour combiner performance économique et sociale. Les bénéfices pour l’entreprise sont nombreux baisser l’absentéisme, améliorer la productivité, éviter le turnover, valoriser sa marque employeur. Les Chief Happiness Office répondent également à une demande de créer une culture forte d’entreprise. Les salariés ont besoin d’adhérer à des valeurs pour développer un sentiment d’appartenance. Les politiques d’entreprise en termes de responsabilité sociale et environnementale font partie de ces valeurs. Par exemple, par la mise en place d’actions pour réduire l’empreinte carbone de l’entreprise et de ses salariés tri sélectif, collecte de déchets, livraison de paniers frais, co-voiturage, etc. Le CHO veille à créer et à renforcer du lien social au sein des employés afin de développer une dynamique collective. Il agit autant sur l’environnement de travail, les conditions de travail, la communication interne, que la création d’événements professionnels. Et si la réponse n’était pas de rechercher le bonheur individuel mais de créer des moments de bonheur collectifs ? Créer des moments de bonheur au travail, la réponse d’Elstarecon Événements et Conseils Les événements professionnels sont une des réponses du bonheur au travail. Ils ne viennent pas compenser une qualité de vie au travail QVT dégradée. De bonnes conditions de travail, un environnement de confiance, une rémunération juste et équitable font partie des bases clés du bien-être des salariés. L’organisation d’activités team-building ou de séjours incentive répondent à d’autres besoins des salariés pour être heureux Renforcer le sentiment d’appartenance à un groupe Développer la communication officielle et les échanges informels Créer du lien social au sein d’une équipe Partager des valeurs communes Avoir un impact en réalisant une action à but solidaire ou écologique par exemple Et si vous n’aviez pas besoin d’atteindre un sentiment de sérénité au travail, mais seulement de créer des moments d’émotions au sein de votre entreprise. L’idée n’étant pas de mesurer le niveau de productivité de vos salariés, mais plutôt leur indice de bien-être. Un peu comme le Bhoutan a décidé de remplacer l’indicateur du PNB Produit National Brut par le BNB, le Bonheur National Brut. Le gouvernement choisit de quantifier la richesse de son pays, au bien-être de sa population. Au Bhoutan et partout dans le monde, Elstarecon Événements et Conseils vous accompagne dans l’organisation de vos moments de rencontres professionnelles. Journées d’études, séminaires, activités team-building, séjours incentives faites-nous confiance pour apporter un peu de bonheur dans votre entreprise 😊 Au menu, nous vous promettons des réunions dynamiques, des échanges conviviaux, des émotions partagées dans des lieux inspirants et dépaysants, autour de valeurs RSE fortes.Le bonheur est parfois. Citation Bonheur Espoir. Le bonheur est parfois. Douaa - 6 juin 2022 6 juin 2022. 5/5 - (6 votes) Le bonheur est parfois caché dans l’inconnu. Victor Hugo. A Lire Aussi. Une mère connaît les; J’ai trente ans, mon vieux, Je veux savoir, user mon esprit; Celui qui n’est pas jaloux, Solitude, ma mère, Cet espoir que nous avons tous; Tout bon livre doit
15 sujets de rédaction pour les élèves de CM1/ CM2 et les collégiens Je vous propose 15 sujets de rédaction pour les élèves de CM1/ CM2 et les collégiens selon 3 thématiques à la manière de en s’appuyant sur des citations, imagination, écriture créative et personnelle. A la manière de Déroulement lire la citation en gras et écrire un texte selon les consignes. I/ Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. – Lamartine Reprends cette citation de Lamartine et imagine 5 choses qui rendraient ton monde dépeuplé si elles te manquaient. Expliquer ensuite en quoi cette chose ou personne rend la vie précieuse et plus belle. Un seul … vous manque et tout est dépeuplé Un seul … vous manque et tout est dépeuplé Un seul … vous manque et tout est dépeuplé Un seul … vous manque et tout est dépeuplé Un seul … vous manque et tout est dépeuplé Exemples Un seul carré de chocolat vous manque et tout est dépeuplé car le chocolat donne du goût à la vie. Une seule fleur vous manque et tout est dépeuplé parce que la vie a le parfum du lilas, des roses et des géraniums. II/ Le bonheur est parfois caché dans l’inconnu. – Victor Hugo Reprends cette citation de Victor Hugo et imagine 10 choses dans lesquelles le bonheur se cache. Utiliser un nom complété par un complément du nom pour désigner ce qui fait le bonheur. Le bonheur est parfois caché dans… Le bonheur est parfois caché dans… Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Le bonheur est parfois caché dans …. Exemples Le bonheur est parfois caché dans une chanson de pop. Le bonheur est parfois caché dans un livre de Harry Potter. III/ Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas dansé. – Nietzsche Reprends cette citation de Nietzsche et imagine 8 choses qui gâcheraient une journée si elles n’avaient pas lieu. Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas… Exemples Je considère comme gâchée toute journée où je n’ai pas rigolé avec mes amis. IV/ Rire souvent et beaucoup; gagner le respect des gens intelligents et l’affection des enfants; savoir qu’un être a respiré plus aisément parce que vous avez vécu. C’est cela réussir sa vie. – Ralph Waldo Emerson Reprends cette citation de Ralph Waldo Emerson en respectant les 3 points clés séparés par des points virgules et imagine 6 choses qui enrichissent la vie et la rendent réussie. … C’est cela réussir sa vie. … C’est cela réussir sa vie. … C’est cela réussir sa vie. … C’est cela réussir sa vie. … C’est cela réussir sa vie. … C’est cela réussir sa vie. Exemples Jouer et apprendre; aimer et être aimé; prendre le soleil et se reposer. C’est cela réussir sa vie. V/ Le rôle d’un ami, c’est de se trouver à votre côté quand vous êtes dans l’erreur puisque tout le monde sera à côté de vous quand vous aurez raison. – Mark Twain Reprends cette citation de Mark Twain et imagine 5 définitions de ce qu’est un vrai ami. Le rôle d’un ami, c’est de… Le rôle d’un ami, c’est de.. Le rôle d’un ami, c’est de… Le rôle d’un ami, c’est de… Le rôle d’un ami, c’est de… Exemples Le rôle d’un ami, c’est de nous faire rire quand on est triste et de partager notre joie quand on est content. Imagination Déroulement lire les consignes et faire appel à l’imagination pour écrire un texte de 5 à 10 lignes pour répondre aux questions. VI/ Imagine que tes chaussures prennent vie pour la journée. A quoi pensent-elles ? Que diraient-elles ? Que font-elles ? Tu peux retranscrire leurs pensées et commencer ton texte en décrivant ce qui se passe dès le réveil du matin jusqu’à minuit le soir. VII/ Tu es un chanteur/ une chanteuse récompensée par une Victoire de la Musique. Ecris ton discours. Qui remercies-tu ? Pourquoi ? Que leur dis-tu ? De quoi es-tu fier dans ton parcours ? Quels sont tes projets pour le futur ? VIII/ Invente la recette de ce plat inconnu la tartifenouillage. Quels sont les ingrédients et les quantités de chacun de ces ingrédients ? Quelles sont les étapes de la recette ? Quel est le mode de cuisson et le temps de cuisson ? Quel goût ce plat aurait-il ? Sous quelle forme se présenterait-il ? Quel est ton petit secret pour réussir ce plat ? IX/ Tu viens d’être élue à la mairie de ta ville. Quelles sont les premières décisions que tu voudrais mettre en pratique ? Dans chaque domaine nature, aménagement de la ville, éducation, sport, qu’est-ce que tu voudrais changer et améliorer dans ta ville ou ton village ? X/ Si tu gagnais 100 000 euros au loto et que tu pouvais les dépenser comme tu le souhaites, qu’est-ce que tu en ferais ? Ecriture créative personnelle Déroulement lire les consignes et faire appel à l’imagination pour écrire un texte de 5 à 10 lignes pour répondre aux questions. XI/ Quel est le cadeau qui t’a fait le plus plaisir de ta vie ? Pourquoi ? Et quel est le cadeau que tu n’as jamais reçu mais que tu adorerais recevoir ? Qu’est-ce qui te plait tant dans ce cadeau ? XII/ Quel est ton dernier fou rire ? Qu’est-ce qui t’a fait rire ? Quelle est la dernière personne que tu as fait rire ? Comment vous êtes-vous sentis ? XII/ Quelle est la dernière chose que tu as inventée ou crée ? Où as-tu trouvé l’inspiration ? Etais-tu satisfait du résultat ? As-tu reçu des compliments ou des conseils d’amélioration ? Quel est ton prochain projet créatif ? XIV/ Si tu n’étais pas toi-même, qui aurais-tu aimé être ? Pourquoi ? Qu’est-ce que tu aimes/ admires chez cette personne ? Qu’est-ce que tu pourrais faire en plus ou différemment ? XV/ Imagine ce que tu ferais de mon année si tu avais une année complète de vacances. Donne le plus de détails possibles sur les activités que tu ferais, sur les lieux où tu irais, sur le temps que tu y passerais, sur les émotions que tu ressentirais pourquoi tu as envie de faire cette activité en particulier à ce moment-là , avec qui tu passerais ce temps et comment tu organiserais ton temps sur le long terme. ………………………………………… Vous pouvez retrouver de nombreuses autres idées pour l’expression écrite dans mon ouvrage 50 activités bienveillantes pour progresser en expression écrite et être à l’aise en rédaction 8-12 ans de Caroline Jambon éditions Larousse. Disponible en librairie, en centre culturel ou sur internet. Commander 50 activités bienveillantes pour progresser en expression écrite sur Amazon, sur Cultura ou sur Decitre
Parce que parfOis j'en ai marre de tout !Parce que c'est dans ces mOments la que les amies sOn présent Parce que certaines persOnnes me manque énOrmementParce que d'autres pas du tOut Parce que parfOis j'ai envi de tOut arrétéParce que je vOudrais revenir en arriére Parce que je vOudrai tout recommencer Parce que certaine persOnne sOn trOp lOin Parce que certaine persOnne vont beaucOup me manquer Parce que certaine persOnne sOn triste et ca me rens malheureuse Parce que m'élOigne de quelqu'un et je veux pasPARCE QUE Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu Posted on Tuesday, 13 February 2007 at 1027 PMEdited on Wednesday, 14 February 2007 at 325 PM
Lebonheur est parfois caché dans l'inconnu. B onjour ou bonsoir, j'ai fait ce blog car de nombreux blogs mon donné envie de vous faire partager mon amour que je porte sur les personnages de Fairy Tail. D ans mon blog vous trouverez des school fic car je n'arrive pas à m'approprier le monde que Hiro Mashima a créé. D Des stickers muraux citations pour la déco ! Avec les stickers citation et ce sticker Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu - Victor Hugo, vous pourrez enfin décorer l'intérieur de votre cuisine à votre guise avec leur aide ! Donnez à votre appartement le reflet de votre grande sagesse et expérience de la vie avec ce sticker Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu - Victor Hugo. Où coller cet autocollant déco ? Ces stickers proverbes d'hommes célèbres seront parfait pour les murs de votre salon, cuisine et salle de bain ! Ces textes décoratifs sont une très bonne idée pour décorer votre intérieur .