Abat le silicone, moi j'aime ta conversation. Oh ! Je suis trop plate, regarde, ça craint ! T'achĂštes pas de nouveaux seins, les tiens me vont trĂšs bien, Refrain (x2) Je t'aime comme t'es. Je sais la peine qu'on s'fait parfois Tu sais comme c'est rare qu'on s'aime comme ça Je t'aime comme t'es, je t'aime comme t'es, Je t'aime comme t'es Les plus belles paroles d’amour
 Parole d’amour sensuel Toi, qui m’attire, Toi, qui par ton sourire m’aspire, Je t’ai aimĂ© dĂšs la premiĂšre fois, Et j’espĂšre t’aimer pour toujours, J’aimerais te dire que tu es ma vie. Parole d’amour touchante Toi, qui m’émerveille. Qui m’élĂšve jusqu’au ciel. Mon cƓur est en balance. Ton regard est comme une flĂšche. Que tu as projetĂ© jusqu’au fond de moi, dans mon corps, tu as atteint mon cƓur. Parole d’amour DĂšs que je suis prĂšs de toi. J’aimerais que tu restes lĂ  avec moi J’aime le toucher de ta main, L’odeur de tes cheveux. La force de votre regard. Cela me secoue Ă  l’intĂ©rieur. Et j’aimerais rester avec toi a l’infinie. Parole d’amour pour mon mari Aimer, c’est partager la vie ensemble d’élaborer des plans spĂ©ciaux juste pour deux de travailler cĂŽte Ă  cĂŽte et puis sourire avec fiertĂ© que, un par un, tous les rĂȘves deviennent rĂ©alitĂ©. Parole d’amour pour lui Aimer, c’est d’avoir quelqu’un de spĂ©cial Sur qui vous pouvez toujours compter d’ĂȘtre lĂ  au fil des ans de partager les rires et les larmes en tant que partenaire, c’est ça l’amour. Parole d’amour pour mon chĂ©ri Mon amour pour toi, chaque jour, sort de l’ordinaire Tous mes sens, subisse ton charme Tu me rends folle avec ton simple sourire Dans ma vie, tu as fait entrer le Soleil
 Parole d’amour je t’aime T’aimer, c’est avoir besoin de toi et supporter tes dĂ©fauts, parce que d’une certaine maniĂšre, tu me complĂštes. jtm. Parole d’amour je pense Ă  toi Je pense Ă  toi tout le temps, je n’ai mĂȘme pas besoin de penser Ă  toi pour que tu me viennes Ă  l’esprit, tu es tout le temps avec moi comme un ange, un soleil, une prĂ©sence, un grand espoir. Je t’aime. Parole d’amour pour un homme Ils peuvent me mettre des chaĂźnes, me brisez les doigts. Je te crierais toujours je t’aime, autant de fois que nĂ©cessaire
 Parole d’amour SMS Je ne savais pas qu’on pouvait aimer Ă  ce point. Enfin, moi en tout cas, je croyais que je n’étais pas programmĂ©e pour aimer de cette façon. Jtm Parole d’amour tu me manques Il y a une façon particuliĂšre de me rendre heureuse sans faire grand-chose, c’est en Ă©tant avec toi, tout simplement, tu me manques mon amour. Parole d’amour romantique J’ai aimĂ© un ĂȘtre de tout mon cƓur et de toute mon Ăąme et pour moi c’est plus que suffisant. Parole d’amour je t’aime C’est quand la neige sera noire et les corbeaux seront blancs
 Que tu t’effaceras de ma mĂ©moire
Jtm Parole d’amour sensuel Que l’on aime quelqu’un pour ses qualitĂ©s c’est normal, mais le jour oĂč l’on se prend Ă  aimer ses dĂ©fauts, c’est ça l’amour. Parole d’amour je pense Ă  toi Ça me rend folle, tous ces trucs qu’on ressent quand on est amoureuse je pense Ă  toi tout le temps. Jolie parole d’amour Le plus bel amour est celui qui Ă©veille l’ñme et qui nous fait surpasser les difficultĂ©s. Celui qui enflamme notre cƓur et apaise nos esprits. C’est ce que tu m’as apportĂ©. SUBSCRIBE / ABONNEZ-VOUS : ☌ FOLLOW US ON / SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK : http://on.fb.me/13Tj2Z0☌ BEST OF ANNEES 80's : http://bit.ly/1 Paroles Promets-moi si tu me survisD’ĂȘtre plus fort que jamaisJe serai toujours dans ta viePrĂšs de toi, je te prometsEt si la mort me programmeSur son grand ordinateurDe ne pas en faire un drameDe ne pas en avoir peur Pense Ă  moi, comme je t’aimeEt tu me dĂ©livrerasTu briseras l’anathĂšmeQui me tiens loin de tes brasPense Ă  moi, comme je t’aimeRien ne nous sĂ©pareraMĂȘme pas les chrysanthĂšmesTu verras, on se retrouvera N’oublie pas ce que je t’ai ditL’amour est plus fort que toutNi l’enfer ni le paradisNe se mettront entre nousEt si la mort me programmeSur son grand ordinateurElle ne prendra que mon ĂąmeMais elle n’aura pas mon cƓur Pense Ă  moi, comme je t’aimeEt tu me dĂ©livrerasTu briseras l’anathĂšmeQui me tiens loin de tes brasPense Ă  moi, comme je t’aimeRien ne nous sĂ©pareraMĂȘme pas les chrysanthĂšmesTu verras, on se retrouveraOn se retrouveraOn se retrouvera
\n \n paroles pense Ă  moi comme je t aime
Jet'aime comme si tu n'Ă©tais plus lĂ . Je t'aime encore. La suite des paroles ci-dessous. Je t'aime jusqu'Ă  la mort. Je t'aime comme si tu Ă©tais moi. Je t'aime comme si tu n'Ă©tais plus lĂ . Je t’aime encore, mon salaud, je t’aime encore lorsque tout tombe Ă  l’eau. Toi et moi face au monde, c’est comme ça qu’j’suis mĂ©galo.
On n's'est pas rendu compteOn s'donnait rendez-vousTu me disais raconteEt moi j'dĂ©voilais toutMa vie ma vie mes aventuresMa nostalgie mon clair obscurOn s'faisait un p'tit baiser sur la joueOn s'aimait d'amitiĂ© voilĂ  toutOn n's'est pas rendu compteAu cours d'nos rendez-vousPour que rien n'interrompeNos rĂȘves les plus fousOn s'amusait heures vagabondesA l'amitiĂ© qui dĂ©vergondeOn s'faisait de vrais baisers sur la boucheAmoureuse amitiĂ© rien de loucheJ'pense Ă  toi comme je t'aimeJ'pense Ă  toi comme je t'aimeTriche pas j'veux pas avec moiJ'pense Ă  toi comme je t'aimeDepuis que dans nos restos cosyOn s'aime on s'aime on s'aimeOn n's'est pas rendu compteMalgrĂ© nos rendez-vousQu'Ă  la fin d'ce beau conteOn souffrait dessus dessousNos cœurs blessĂ©s nos solitudesSe sont croisĂ©s mĂȘme latitudeAmitiĂ© qu'on savoure qu'on oublieJ'pense Ă  toi comme je t'aimeJ'pense Ă  toi comme je t'aimeTriche pas j'veux pas avec moiJ'pense Ă  toi comme je t'aimeDepuis que dans nos restos cosyOn s'aime on s'aime on s'aimeOn n's'est pas rendu compteOn s'donnait rendez-vousTu m'disais raconte et moi j'dĂ©voilais toutMa vie ma vie mes aventuresMa nostalgie mon clair obscurFini les p'tits baisers sur la joueOn n's'aime plus d'amitiĂ© voilĂ  toutOn n's'est pas rendu compteOn s'donnait rendez-vousHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum LavariĂ©tĂ© française connait des titres dont le temps n'arrivera jamais Ă  faire tarir l'essence et l'Ă©motion. Parmi ces titres emblĂ©matiques, « je t'aimais, je t'aime, je t'aimerai » de « Francis Cabrel » sorti en 1994 sur son album « Samedi soir sur la terre » et le symbole mĂȘme de l'immortalitĂ© d'une chanson, autant que du thĂšme dont elle traite, l'amour. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Hoshi Album Il suffit d'y croire Traductions anglais, italien français français Je pense Ă  toi ✕ J'oublie de fermer les fenĂȘtres, J'ai froid dans mon petit ĂȘtre Qui s'habille de peut-ĂȘtre Je pense Ă  toiJe ne rappelle plus personne Que tous mes potes me pardonnent Et y a que ton nom qui rĂ©sonne Je pense Ă  toiTous ces souvenirs que je traĂźne Ils insistent pour qu'tu reviennes Je suis moins forte que tu crois J'ai le cƓur sans voix Et je pense Ă  toiJe revois chacun de tes gestes Tu veux pas lĂącher du lest Que je t'aime, que j'te dĂ©teste Je pense Ă  toiOn voulait faire un album, Des photos Ă  Barcelone, Putain, qu'est ce que je me sens conne Je pense Ă  toi Tous ces souvenirs que je traĂźne Ils insistent pour qu'tu reviennes Je suis moins forte que tu crois J'ai le cƓur sans voix Et je pense Ă  toi Fais comme pour tes cigarettes Y a mĂȘme pas besoin d'allumettes Fais-moi rouler sous tes doigts Rallume-moi L'amour c'est comme un manĂšge La fĂȘte est toujours trop brĂšve Un deuxiĂšme tour, pourquoi pas ? Si tu penses Ă  moi Si tu penses Ă ... Tous ces souvenirs que je traine Ils insistent pour qu'tu reviennes Je suis moins forte que tu crois J'ai le cƓur sans voix Et je pense Ă  toi ✕DerniĂšre modification par Floppylou Lun, 31/05/2021 - 0957 Droits d’auteur Writers Nazim Yahya Kemal Khaled, Marc HekicLyrics powered by by Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Je pense Ă  toi » Music Tales Read about music throughout history kepensĂ© vous du new planetx le tt suspensdu perso yĂ© magnifik Ă© pas trĂ© cher pr moi perso 1bon ti bike de freeride bon jatten votre avi pr le voir vous pouver. Faux Rhum des Kaskou's : Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Faux Rhum des Kaskou's : Accueil Rechercher . S'enregistrer 13/01/2013 7 13 /01 /janvier /2013 2255 Paroles de la chanson de Francis lalanne "pense Ă  moi comme je t'aime" Cette magnifique chanson est un des plus grands succĂ©s de Francis Lalanne et la musique du film "le passage" avec Alain delon. J'aime bien cette chanson du film "le passage" et je la publie donc sur mon blog comme un clin d'oeil Ă  tous les amoureux qui visite Mehdiblog. Ci-dessous les paroles de "pense Ă  moi comme je t'aime" Pense a moi comme je t'aime Promets moi si tu me survis D'ĂȘtre plus forte que jamais Je serais toujours dans ta vie PrĂšs de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur De ne pas en faire un drame De ne pas en avoir peur Pense Ă  moi comme je t'aime Et tu me dĂ©livrevras Tu briseras l'anathĂšme Qui me tiens loin de tes bras Pense Ă  moi comme je t'aime Rien ne nous sĂ©pareras MĂȘme pas les chrysanthĂšmes Tu verras on se retrouvera N'oublie pas pas ce que je t'ai dis L'amour est plus fort que tout Ni l'enfer ni le paradis Ne se mettront entre nous Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur Elle me prendra que mon Ăąme Mais elle n'aura pas mon coeur Pense Ă  moi comme je t'aime. La video de "pense Ă  moi comme je t'aime" Vous ĂȘtes arrivĂ©e ici en cherchant sur google. Paroles et musique de pense Ă  moi comme je t'aime de Francis lalanne. Chanson Francis Lalanne mp3 VidĂ©o musique film "le passage". Pense Ă  moi comme je t'aime. Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous Mehdiblog Mehdi - dans FRANCE Pourmoi, Jesus ne ressemble pas du tout Ă  l'imagerie traditionnellement mise en avant. Les gens d'aujourd'hui confondent trop sentiments et sensiblerie. Quand l'excĂšs de sentiment est sensiblerie exagĂ©rĂ©e. Jesus Ă©tait juste et pour ĂȘtre juste,il faut savoir ĂȘtre dur. (incontournable) Être dur n'est pas ĂȘtre mĂ©chant. Par Joe Vitale Il y a deux ans, j’ai entendu parler d’un thĂ©rapeute d’Hawaii qui a guĂ©ri une salle complĂšte de patients aliĂ©nĂ©s criminels — sans ne jamais voir aucun d’eux. Le psychologue Ă©tudiait le dossier d’un internĂ© et ensuite regardait en lui-mĂȘme pour voir comment il avait créé la maladie de cette personne. À mesure qu’il s’amĂ©liorait lui-mĂȘme, le patient s’amĂ©liorait. Quand j’ai entendu cette histoire pour la premiĂšre fois, j’ai pensĂ© que c’était une lĂ©gende urbaine. Comment quelqu’un pouvait-il guĂ©rir quelqu’un d’autre en se guĂ©rissant lui mĂȘme? Comment mĂȘme le meilleur maĂźtre de l’auto-amĂ©lioration pouvait-il guĂ©rir l’aliĂ©nĂ© criminel? Ça n’avait pas de sens. Ce n’était pas logique. J’ai donc rejetĂ© cette histoire. Cependant, je l’ai entendue de nouveau un an plus tard. J’ai entendu dire que le thĂ©rapeute avait utilisĂ© un procĂ©dĂ© de guĂ©rison hawaĂŻen appelĂ© Ho’oponopono. Je n’en avais jamais entendu parler, pourtant je ne pouvais laisser cela me sortir de l’esprit. Si l’histoire Ă©tait vraie, je devais en savoir davantage. J’avais toujours compris que responsabilitĂ© totale » signifiait que j’étais responsable de ce que je pensais et de ce que je faisais. Au-delĂ  de ça, je n’y Ă©tais pour rien. Je crois que la plupart des gens considĂšrent la responsabilitĂ© totale de cette façon-lĂ . Nous sommes responsables de ce que nous faisons, pas de ce que n’importe qui d’autre fait, mais cela est faux. Le thĂ©rapeute hawaĂŻen qui a guĂ©ri ces personnes malades mentales allait m’enseigner une nouvelle perspective avancĂ©e sur la responsabilitĂ© totale. Il s'appelle Dr Ihaleakala Hew Len. Nous avons probablement passĂ© une heure Ă  parler lors de notre premier appel tĂ©lĂ©phonique. Je lui ai demandĂ© de me raconter toute l’histoire de son travail en tant que thĂ©rapeute. Il a expliquĂ© qu’il avait travaillĂ© quatre ans Ă  l’hĂŽpital de l’État d’Hawaii. Cette salle oĂč ils gardaient les malades mentaux criminels Ă©tait dangereuse. Des psychologues quittaient chaque mois. Le personnel prenait beaucoup de congĂ©s de maladie ou s’en allait, tout simplement. Les gens marchaient dans cette salle en gardant le dos contre le mur, craignant d’ĂȘtre attaquĂ©s par les patients. Ce n’était pas un endroit agrĂ©able oĂč vivre, travailler ou venir en visite. Le Dr Len m’a dit qu’il ne voyait jamais ses patients. Il accepta d’avoir un bureau et de voir les dossiers. Pendant qu’il regardait les dossiers, il travaillait sur lui-mĂȘme. À mesure qu’il travaillait sur lui-mĂȘme, les patients commençaient Ă  guĂ©rir. AprĂšs quelques mois, des patients Ă  qui l’on avait dĂ» mettre des entraves furent autorisĂ©s Ă  marcher librement, m’a-t-il dit. D’autres, qui avaient dĂ» ĂȘtre lourdement mĂ©dicamentĂ©s commencĂšrent Ă  abandonner leurs mĂ©dicaments. Et ceux qui n’avaient aucune chance d’ĂȘtre relĂąchĂ©s furent libĂ©rĂ©s. » J’étais stupĂ©fait. Pas seulement cela, poursuivit-il, le personnel commença Ă  se plaire Ă  venir travailler. L’absentĂ©isme et le roulement du personnel prirent fin. Nous avons fini par avoir plus de personnel que nous en avions besoin parce que les patients Ă©taient relĂąchĂ©s et que tout le personnel se prĂ©sentait pour travailler. Aujourd’hui, cette salle est fermĂ©e. » C'est lĂ  que je devais poser la question d'un million de dollars Qu'est-ce que vous faisiez en vous-mĂȘme qui amenait ces gens Ă  changer? » Tout simplement, je guĂ©rissais la partie de moi qui les avait créés », a-t-il dit. Je ne comprenais pas. Le Dr Len a expliquĂ© que la responsabilitĂ© totale pour votre vie signifie que tout dans votre vie — simplement parce que c'est dans votre vie — est de votre responsabilitĂ©. En un sens littĂ©ral, le monde entier est votre crĂ©ation. Ouais. Cela est difficile Ă  avaler. Être responsable de ce que j'ai dit ou fait est une chose. Être responsable de ce que chacun dans ma vie dit ou fait est une tout autre chose. Pourtant, la vĂ©ritĂ©, c'est que si vous assumez la complĂšte responsabilitĂ© de votre vie, alors tout ce que vous voyez, entendez, goĂ»tez, touchez ou expĂ©rimentez de quelque façon est de votre responsabilitĂ© parce que c'est dans votre vie. Cela signifie que les activitĂ©s terroristes, le prĂ©sident, l'Ă©conomie — quoi que ce soit que vous expĂ©rimentez et que vous n'aimez pas —, c'est Ă  vous qu'il revient de les guĂ©rir. Ils n'existent, pour ainsi dire, que comme des projections venant de l'intĂ©rieur de vous. Le problĂšme n'est pas leur, il est vĂŽtre et pour les changer, vous avez Ă  vous changer. Je sais que cela est difficile Ă  saisir, sans parler que c'est difficile Ă  accepter et Ă  vivre pour de vrai. Le blĂąme est beaucoup plus facile que la responsabilitĂ© totale, mais Ă  mesure que je parlais avec le Dr Len, j'ai commencĂ© Ă  rĂ©aliser que la guĂ©rison pour lui et dans le Ho'oponopono signifie s'aimer soi-mĂȘme. Si vous voulez amĂ©liorer votre vie, vous devez guĂ©rir votre vie. Si vous voulez guĂ©rir quelqu'un — mĂȘme un criminel malade mental — vous le ferez en vous guĂ©rissant. J'ai demandĂ© au Dr Len comment il s'y prenait pour se guĂ©rir lui-mĂȘme. Qu'est-ce qu'il faisait, exactement, quand il regardait les dossiers de ces patients? Je faisais juste rĂ©pĂ©ter "Je m'excuse" et "Je vous aime" encore et encore », a-t-il expliquĂ©. — C'est tout? — C'est tout. » Il se trouve que vous aimer vous-mĂȘme est la plus merveilleuse façon de vous amĂ©liorer, et Ă  mesure que vous vous amĂ©liorez, vous amĂ©liorez votre monde. Laissez-moi vous donner un exemple rapide de la façon dont ça marche. Un jour, quelqu'un m'a envoyĂ© un courriel qui m'a contrariĂ©. Auparavant, j'aurais traitĂ© la situation en travaillant sur mes points faibles Ă©motionnels ou en essayant de raisonner avec la personne qui avait envoyĂ© le message dĂ©sagrĂ©able. Cette fois-lĂ , j'ai dĂ©cidĂ© d'essayer la mĂ©thode du Dr Len. Je rĂ©pĂ©tais en silence Je m'excuse » et Je vous aime », je ne le disais Ă  personne en particulier. J'Ă©voquais simplement l'esprit d'amour pour guĂ©rir en moi ce qui avait créé la circonstance extĂ©rieure. En dedans d'une heure, j'ai reçu un courriel de la mĂȘme personne. Il s'excusait pour son message prĂ©cĂ©dent. Rappelez-vous que je n'avais pris aucune mesure extĂ©rieure pour obtenir ces excuses. Je ne lui avais mĂȘme pas rĂ©pondu. Pourtant, en disant Je t'aime », j'avais en quelque sorte guĂ©ri en moi ce qui le crĂ©ait. J'ai par la suite participĂ© Ă  un atelier de Ho'oponopono animĂ© par le Dr Len. Il a maintenant 70 ans, il est considĂ©rĂ© comme un grand-pĂšre chaman et il est quelque peu solitaire. Il a louangĂ© mon livre The Attractor Factor. Il m'a dit qu'Ă  mesure que je m'amĂ©liorerai, la vibration de mon livre augmentera et que chacun le sentira quand il le lira. Bref, dans la mesure oĂč je m'amĂ©liorerai, mes lecteurs s'amĂ©lioreront. Qu'en est-il des livres qui sont dĂ©jĂ  vendus et qui se trouvent un peu partout out there? », ai-je demandĂ©. Ils ne sont pas "un peu partout" », a-t-il expliquĂ©, m'Ă©tonnant encore une fois avec sa sagesse mystique. Ils sont encore en vous. » En rĂ©sumĂ©, il n'y a pas d'un peu partout. Cela prendrait un livre entier pour expliquer cette technique avancĂ©e avec la profondeur qu'elle mĂ©rite. Qu'il suffise de dire que chaque fois que vous voulez amĂ©liorer quelque chose dans votre vie, il n'y a qu'une seule place oĂč regarder en vous. Quand vous regardez, faites-le avec amour. * Ho'oponopono signifie rendre droit, rectifier, corriger. Note de la traductrice __________________________________________________________________________ Traduit de l'anglais USA par AndrĂ©e Thouin avec la permission de l'auteur. Texte original Site de l'auteur
Impossiblede penser Ă  cette expression sans fredonner la cĂ©lĂšbre chanson de Serge Gainsbourg et Jane Birkin. Et d’ailleurs c’est de lĂ  que tout semble venir. Depuis cette chanson qui a Ă©tĂ© un vrai succĂšs en 1969, l’expression « je t’aime moi non plus » est entrĂ©e dans le langage courant. Peut-ĂȘtre que vous vivez une relation comme ça. Entre vous ça a Ă©tĂ© le coup de
Par Qingping, Chine J’ai servi en tant que dirigeante dans une Église pendant un certain temps. SƓur Zhang, la diaconesse d’évangĂ©lisation, portait un fardeau dans son devoir et se montrait vraiment proactive. Mais elle Ă©tait assez directe, et avait tendance Ă  employer un ton sĂ©vĂšre. Parfois, elle soulignait les problĂšmes qu’elle remarquait en moi de façon trĂšs abrupte. Elle disait que je rĂ©primandais les gens avec autoritarisme, et qu’ils se sentaient contraints. Au dĂ©but, j’ai pris ça de façon positive. Je pensais qu’elle ne disait pas les choses gentiment, mais qu’elle avait raison, donc j’acceptais ses remarques et j’essayais de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais au bout d’un moment, Ă  force de la voir souligner les problĂšmes dans mon devoir devant tout le monde, sans aucune considĂ©ration pour mon image, j’ai fini par ne plus supporter la situation, et commencĂ© Ă  avoir des prĂ©jugĂ©s contre elle. Un jour, dans une rĂ©union avec des diacres, j’ai vu que personne ne parlait, donc je les ai invitĂ©s Ă  soulever n’importe quel problĂšme. Alors SƓur Zhang a dit sĂšchement Je me sens contrainte parce que ça te dĂ©plaĂźt quand j’échange longuement. » Et elle ajoutĂ© que d’autres frĂšres et sƓurs se sentaient entravĂ©s par moi, eux aussi. J’ai vu que quelques participants acquiesçaient, et j’ai commencĂ© Ă  rougir. Pour sauver la face, je me suis justifiĂ©e, en disant que c’était dans ma nature de parler durement. Elle a rĂ©pondu que le problĂšme ne venait pas de mon ton, mais de ma nature arrogante. SƓur Zhang ne tenait aucun compte de ma dignitĂ©, ce qui m’a bouleversĂ©e. Je me suis dit que c’était vrai qu’elle Ă©changeait interminablement, alors pourquoi ne rĂ©flĂ©chissait-elle pas sur elle-mĂȘme au lieu de me crĂ©er des problĂšmes ? Elle devait avoir une dent contre moi et voulait donner une mauvaise image de moi. Les autres allaient-ils m’en vouloir, et dire que je les rĂ©primandais et que j’étais arrogante ? Ces pensĂ©es ont vraiment renforcĂ© mes prĂ©jugĂ©s contre SƓur Zhang. Lors d’une autre rĂ©union avec des diacres, elle a dit devant tout le monde que je n’échangeais que sur des choses positives, et pas sur ma corruption, et que je n’avais guĂšre changĂ© mon arrogance et la façon dont je contraignais les gens. J’ai pensĂ© qu’elle n’avait pas Ă©voquĂ© mes qualitĂ©s, mais seulement mes dĂ©fauts. Étais-je vraiment aussi nuisible ? Les autres allaient forcĂ©ment avoir une mauvaise image de moi, et si la dirigeante s’en apercevait, elle allait peut-ĂȘtre dire que je n’avais pas changĂ© aprĂšs tout ce temps, et que je ne m’entendais pas avec les frĂšres et sƓurs. Je risquais donc d’ĂȘtre renvoyĂ©e. Plus j’y rĂ©flĂ©chissais et plus j’en voulais Ă  SƓur Zhang. Elle me critiquait sans cesse en public, et je lui cĂ©dais toujours sans me dĂ©fendre. Elle se montrait ingrate et allait trop loin. Elle Ă©voquait mes problĂšmes en nombre, sans tenir compte de l’image que cela donnait de moi. Je me suis dit qu’il fallait que je trouve l’occasion d’exposer ses problĂšmes, moi aussi, et de la mettre sur la sellette. J’ai donc tenu ma langue et je n’ai pas rĂ©pondu. Plus tard, lors d’une autre rĂ©union, j’ai appris que le travail d’évangĂ©lisation dont SƓur Zhang s’occupait ne donnait pas de bons rĂ©sultats, et qu’il y avait des problĂšmes dans son devoir. J’ai voulu le souligner publiquement, et la ridiculiser, mais avant que je puisse le faire, elle m’a posĂ© des questions sur mes rĂ©cents efforts concernant la propagation de l’Évangile. Je n’ai pas su quoi rĂ©pondre, c’était vraiment embarrassant. J’ai pensĂ© qu’elle aurait mieux fait de rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, si son travail d’évangĂ©lisation marchait mal, au lieu de me le reprocher. Elle savait que j’avais Ă©tĂ© accaparĂ©e par le travail de l’Église et que je n’avais pas pu prĂȘcher, donc, en me posant cette question, n’essayait-elle pas de me discrĂ©diter ? Elle essayait sans cesse de m’embarrasser, je ne pouvais pas accepter ça sans me battre. Je devais parler publiquement de ses problĂšmes, moi aussi, pour qu’elle ne puisse pas garder la tĂȘte haute. Plus tard, j’ai dit Ă  un diacre, avec une arriĂšre-pensĂ©e Le travail d’évangĂ©lisation de SƓur Zhang pose des problĂšmes, et elle n’écoute pas les critiques. Elle ne rĂ©flĂ©chit pas sur elle-mĂȘme et se jette sans cesse sur les problĂšmes des autres. » Je me suis sentie un peu coupable, mais ensuite, j’ai pensĂ© que c’était elle qui m’avait critiquĂ©e et embarrassĂ©e en premier, et qu’elle mĂ©ritait donc que je la traite ainsi. Ensuite, quand j’ai partagĂ© mon Ă©tat dans les rĂ©unions, j’en ai profitĂ© pour propager les prĂ©jugĂ©s que j’avais contre elle. Je disais Quand j’ai posĂ© des questions sur le travail d’évangĂ©lisation, lors de la derniĂšre rĂ©union, SƓur Zhang ne s’est pas demandĂ© pourquoi elle ne faisait pas de travail pratique, et elle m’a demandĂ© comment je partageais l’Évangile. J’ai eu des prĂ©jugĂ©s contre elle, parce qu’elle ne tirait pas de leçons des problĂšmes qu’elle rencontrait. » En entendant ça, certains des participants ont Ă©galement pensĂ© que SƓur Zhang manquait de conscience d’elle-mĂȘme. J’étais trĂšs contente, parce que je me suis dit que, dĂ©sormais, les frĂšres et sƓurs allaient savoir qu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, et qu’avec un peu de chance, ils allaient la prendre en grippe et l’ostraciser. Ils n’allaient donc plus se fier Ă  ce qu’elle disait, et allaient penser qu’elle n’était pas objective quand elle avait exposĂ© mes problĂšmes. Alors je pourrais conserver une bonne image aux yeux des frĂšres et sƓurs. Quand la dirigeante allait Ă©tudier la situation, les autres diraient que SƓur Zhang Ă©tait nuisible, et que le problĂšme ne venait pas de moi. Durant cette pĂ©riode, quand SƓur Zhang a eu des problĂšmes, je ne l’ai pas aidĂ©e comme avant, et je n’ai pas assurĂ© le suivi ou la supervision de son travail. Je me suis dit que, lorsque notre dirigeante viendrait voir comment les choses se passaient, et qu’elle verrait que SƓur Zhang ne faisait pas de vrai travail, elle la traiterait peut-ĂȘtre, ou mĂȘme, elle la renverrait. BientĂŽt, la dirigeante est venue voir pourquoi notre travail d’évangĂ©lisation ne se portait pas bien. J’ai voulu saisir cette occasion pour parler des problĂšmes de SƓur Zhang. Ainsi, la dirigeante allait voir que SƓur Zhang ne faisait pas de travail pratique et qu’elle refusait d’ĂȘtre supervisĂ©e, puis elle la renverrait. AprĂšs ça, je n’aurais plus Ă  me soucier d’elle. Donc, j’ai juste parlĂ© Ă  la dirigeante des problĂšmes que SƓur Zhang rencontrait dans son devoir, sans lui dire qu’elle avait appris, qu’elle s’était repentie et qu’elle avait changĂ©. La dirigeante m’a Ă©coutĂ©e et s’est dit que SƓur Zhang avait des problĂšmes graves, puis elle m’a demandĂ© de recueillir des Ă©valuations sur SƓur Zhang, et de gĂ©rer la situation aprĂšs les avoir Ă©tudiĂ©es. Ensuite, lors d’une rĂ©union, j’ai traitĂ© SƓur Zhang trĂšs durement. J’ai dit qu’elle n’obtenait aucun rĂ©sultat, qu’elle refusait qu’on pose des questions sur son travail, qu’elle refusait la supervision des dirigeants et qu’elle perturbait le travail de la maison de Dieu. J’ai dit aussi qu’elle ignorait les sentiments des autres et qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre. SƓur Zhang a Ă©tĂ© vraiment contrariĂ©e en m’entendant. Elle a pensĂ© que, puisqu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, qu’elle blessait les autres, qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, et qu’elle ne faisait pas de travail pratique, elle devait ĂȘtre renvoyĂ©e. Ensuite, elle s’est enfermĂ©e dans un Ă©tat nĂ©gatif, dont elle n’est pas arrivĂ©e Ă  s’extraire, et notre travail d’évangĂ©lisation en a souffert. En fait, j’ai eu du mal Ă  la voir souffrir autant. Je me suis demandĂ© si j’avais dĂ©passĂ© les limites. Mais en repensant Ă  la façon dont elle m’avait embarrassĂ©e, blessĂ©e et humiliĂ©e, j’ai voulu qu’elle ressente ce que cela faisait de perdre la face. Et si elle Ă©tait renvoyĂ©e, les autres sauraient qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, ce n’était donc pas mon problĂšme. Ensuite, j’ai demandĂ© aux autres de rĂ©diger des Ă©valuations sur elle. Redoutant qu’ils n’en disent pas suffisamment sur ses problĂšmes pour qu’elle soit renvoyĂ©e, je n’ai cessĂ© d’évoquer ses dĂ©fauts devant eux. J’ai aussi demandĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment si elle rĂ©solvait des vrais problĂšmes, dans le but de prouver qu’elle ne faisait pas de vrai travail. Quand SƓur Liu, la dirigeante supĂ©rieure, a compris la situation, elle m’a traitĂ©e sĂ©vĂšrement, en disant SƓur Zhang a soulignĂ© tes problĂšmes et tu as refusĂ© de l’accepter, tu l’as jugĂ©e devant une dirigeante, et tu as dramatisĂ© la situation. Tu l’accables et tu lui en fais baver. Tu veux qu’elle soit renvoyĂ©e, n’est-ce pas ? SƓur Zhang est directe, mais elle n’a pas de mauvaises intentions. Elle dit les choses clairement. Les autres disent que tu es arrogante et que tu aimes rĂ©primander les gens, les entraver. Pourquoi n’acceptes-tu pas les suggestions et l’aide, et pourquoi vas-tu jusqu’à oppresser les autres ? » J’ai manifestĂ© une certaine rĂ©sistance. Je me suis dit Ce ne peut ĂȘtre entiĂšrement ma faute, SƓur Zhang a forcĂ©ment des dĂ©fauts, elle aussi. Tu prends juste son parti, sans avoir examinĂ© la situation. » J’ai Ă©voquĂ© d’autres problĂšmes de SƓur Zhang, mais craignant que la dirigeante pense que je ne voyais pas mes propres problĂšmes, j’ai aussi briĂšvement parlĂ© de ma corruption. SƓur Liu a bien vu que je ne me comprenais pas du tout, alors elle m’a dit de lire les paroles de Dieu qui exposent la façon dont les antĂ©christs rejettent les critiques, excluent les contestataires et oppriment les autres. Elle a aussi dissĂ©quĂ© la façon dont je faisais tout ça pour protĂ©ger mon image et mon statut, et dit que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, et que cela nuisait Ă  SƓur Zhang et au travail de la maison de Dieu. Elle a ajoutĂ© que je serais renvoyĂ©e si je ne changeais pas et si je ne me repentais pas. Ça m’a vraiment fait peur. J’ai eu l’impression d’ĂȘtre exposĂ©e et Ă©liminĂ©e, alors j’ai sombrĂ© dans un Ă©tat nĂ©gatif. Pendant un moment, je me suis contentĂ©e de faire mon devoir machinalement. Je refusais d’échanger et d’aider les frĂšres et sƓurs qui Ă©taient dans un mauvais Ă©tat, et les projets de notre Église ne donnaient aucun rĂ©sultat. Plus tard, je me suis retrouvĂ©e dans de nombreuses impasses, et j’ai enfin compris que j’avais eu tort de ne pas tirer de leçons des critiques, et de me montrer nĂ©gative et rĂ©sistante. J’ai enfin commencĂ© Ă  examiner la façon dont j’avais interagi avec SƓur Zhang, alors j’ai priĂ© et rĂ©flĂ©chi. Puis j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu Quand un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, peu importe qui le fait, Ă  quoi cela se rapporte, dans quelle mesure il est Ă  blĂąmer dans cette histoire, Ă  quel point l’erreur est flagrante, quelles iniquitĂ©s il commet et quelles consĂ©quences sa mĂ©chancetĂ© entraĂźne pour l’Église l’antĂ©christ ne considĂšre rien de tout cela. Il considĂšre que celui qui l’émonde et le traite le singularise ou lui trouve dĂ©libĂ©rĂ©ment des dĂ©fauts pour pouvoir le punir. L’antĂ©christ peut mĂȘme aller jusqu’à affirmer qu’on l’intimide, qu’on l’humilie, qu’on ne le traite pas avec humanitĂ©, qu’on le rabaisse et qu’on le mĂ©prise. Une fois qu’un antĂ©christ a Ă©tĂ© Ă©mondĂ© et traitĂ©, il ne se demande jamais ce qu’il a rĂ©ellement fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu il a rĂ©vĂ©lĂ©, s’il a recherchĂ© les principes en la matiĂšre, ni s’il a agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© et rempli ses responsabilitĂ©s. Il ne s’examine pas et ne rĂ©flĂ©chit Ă  rien de tout cela, et il ne mĂ©dite pas ces questions. Au lieu de cela, il aborde le traitement et l’émondage selon un point de vue humain et son approche est impĂ©tueuse. Chaque fois qu’un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, il est plein de colĂšre, de ressentiment et de mĂ©contentement et disposĂ© Ă  n’écouter les conseils de personne. Il refuse d’accepter d’ĂȘtre Ă©mondĂ© et traitĂ© et est incapable de revenir devant Dieu pour apprendre et rĂ©flĂ©chir sur lui-mĂȘme, pour corriger ses actions qui violent les principes, lorsqu’il est superficiel ou nĂ©gligent ou qu’il fait n’importe quoi dans son devoir, et il ne profite pas de cette chance pour rĂ©soudre son propre tempĂ©rament corrompu. Au lieu de cela, il trouve des excuses pour se dĂ©fendre, pour se justifier, et il dira mĂȘme des choses pour crĂ©er la discorde et provoquer les autres. [
] De façon gĂ©nĂ©rale, dans ce qu’ils disent comme dans ce qu’ils font, les antĂ©christs n’acceptent jamais la vĂ©ritĂ©. Qu’est-ce qu’un tempĂ©rament de refus de la vĂ©ritĂ© ? N’est-ce pas ĂȘtre Ă©cƓurĂ© de la vĂ©ritĂ© ? C’est prĂ©cisĂ©ment ce dont il s’agit » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malade de la vĂ©ritĂ© et la dĂ©testaient. Quand ils sont traitĂ©s, ils ne l’acceptent pas de Dieu, et ils ne cherchent jamais la vĂ©ritĂ© et ne rĂ©flĂ©chissent pas Ă  leurs problĂšmes, mais ils sont pleins de griefs et d’insatisfactions, et font tout pour se justifier et se dĂ©fendre. Ils pensent que les autres leur rendent la vie difficile et ils se jettent sur leurs dĂ©fauts, ils les humilient et les regardent de haut, et ils refusent d’accepter la vĂ©ritĂ©. J’étais comme ça, moi aussi. Quand SƓur Zhang avait soulignĂ© mon arrogance et les problĂšmes que j’avais dans mon travail, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. J’avais cru qu’elle me cherchait des dĂ©fauts, qu’elle essayait de me discrĂ©diter. Alors je lui avais rendu la monnaie de sa piĂšce, je l’avais punie par colĂšre. Quand la dirigeante supĂ©rieure m’avait exposĂ©e parce que j’oppressais SƓur Zhang et que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre, parce que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, j’avais Ă©tĂ© encore plus mĂ©contente et j’avais continuĂ© Ă  me dĂ©fendre. J’avais pensĂ© qu’elle favorisait SƓur Zhang, alors j’étais devenu nĂ©gative et je m’étais opposĂ©e, tĂȘte baissĂ©e. J’ai compris que je voyais les critiques exactement comme un antĂ©christ, et que je rĂ©vĂ©lais un tempĂ©rament satanique qui consiste Ă  en avoir assez de la vĂ©ritĂ©. À ce stade, je me suis dit que j’étais dans un Ă©tat dangereux. J’ai voulu rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme et me repentir immĂ©diatement, me dĂ©tourner de ce mauvais chemin. Plus tard, au cours de mes dĂ©votions, j’ai lu ce passage. Êtes-vous capables de trouver plusieurs façons de punir les gens parce qu’ils ne sont pas Ă  votre goĂ»t ou parce qu’ils ne s’entendent pas avec vous ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait ce genre de chose ? L’avez-vous beaucoup fait ? N’avez-vous pas rabaissĂ© des gens indirectement, fait des remarques dĂ©sobligeantes, Ă©tĂ© sarcastiques vis-Ă -vis d’eux ? Dans quels Ă©tats Ă©tiez-vous quand vous faisiez de telles choses ? À ce moment-lĂ , vous vous lĂąchiez et vous Ă©tiez contents vous aviez eu le dessus. Cependant, aprĂšs coup, vous vous ĂȘtes dit “J’ai fait quelque chose de vraiment ignoble. Je n’ai pas la crainte de Dieu et j’ai traitĂ© injustement cette personne.” Au fond de vous, vous ĂȘtes-vous sentis coupables ? Oui. Si vous n’avez pas la crainte de Dieu, au moins vous avez une certaine conscience. Alors, ĂȘtes-vous encore capables de faire ce genre de chose Ă  l’avenir ? Peux-tu envisager de t’attaquer Ă  des gens et de chercher Ă  te venger contre eux dĂšs l’instant oĂč tu les mĂ©prises et ne t’entends pas avec eux, ou dĂšs l’instant oĂč ils ne t’obĂ©issent pas ou ne t’écoutent pas ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait une telle chose ? Quelle sorte d’humanitĂ© possĂšde une personne qui fait une chose pareille ? Concernant son humanitĂ©, elle est malveillante. À l’aune de la vĂ©ritĂ©, elle ne rĂ©vĂšre pas Dieu. Dans son discours et ses actions, cette personne n’a pas de principes ; elle agit sans raison et fait ce qui lui plaĂźt. Pour ce qui est de la crainte de Dieu, de telles personnes ont-elles rĂ©ussi une quelconque entrĂ©e ? Bien sĂ»r que non ; la rĂ©ponse est “non”, Ă  cent pour cent » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu ont rĂ©vĂ©lĂ© mon Ă©tat exact. Je manquais totalement de rĂ©vĂ©rence pour Dieu et j’avais une humanitĂ© malveillante. J’attaquais tous ceux qui m’offensaient et je me vengeais d’eux. Quand SƓur Zhang s’était montrĂ©e aussi directe au sujet de mes problĂšmes, j’avais eu l’impression qu’elle me faisait perdre la face devant les diacres. Au dĂ©but, j’avais pu me retenir et m’obliger Ă  accepter la situation, mais c’était arrivĂ© plusieurs fois, et j’avais alors eu de la rancƓur contre elle. J’avais cherchĂ© des failles chez elle et voulu me venger d’elle, lui donner un aperçu de ce que cela faisait de perdre la face. Quand j’avais dĂ©celĂ© des problĂšmes dans son travail, je ne l’avais pas aidĂ©e, et j’avais mĂȘme saisi cette occasion pour la rĂ©primander et la discrĂ©diter. Quand je n’étais pas parvenue Ă  mes fins, cela m’avait irritĂ©e encore plus, et je l’avais jugĂ©e dans son dos, pour que les frĂšres et sƓurs la prennent en grippe et l’excluent. J’avais dĂ©libĂ©rĂ©ment parlĂ© de ses problĂšmes Ă  la dirigeante, en espĂ©rant que celle-ci la critiquerait et la renverrait. Je m’étais dit qu’elle ne pourrait plus me faire d’ennuis, ensuite, et que je pourrais redorer ma rĂ©putation auprĂšs des frĂšres et sƓurs. Mes actes n’avaient pas seulement Ă©tĂ© extrĂȘmement douloureux et offensants pour SƓur Zhang, ils avaient aussi vraiment perturbĂ© le travail d’évangĂ©lisation. J’ai vu que j’avais une nature rĂ©ellement sinistre et malveillante. Je ne supportais pas la moindre offense, je manquais totalement d’humanitĂ©. J’ai songĂ© que Dieu m’avait Ă©levĂ©e pour que je serve en tant que dirigeante. Le but Ă©tait que je travaille bien avec les autres dans nos devoirs, pour que nous puissions nous aider les uns les autres et changer nos tempĂ©raments de vie. Mais j’avais attaquĂ© SƓur Zhang et je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, j’avais semĂ© la zizanie et j’avais excitĂ© les autres. J’avais nui aux frĂšres et sƓurs, et gravement entravĂ© le travail de la maison de Dieu. J’ai vu que j’avais vraiment fait le mal. Plus tard, en lisant les paroles de Dieu, j’ai gagnĂ© une certaine comprĂ©hension de ma nature malveillante. La parole de Dieu dit L’attaque et la vengeance sont un type d’action et de rĂ©vĂ©lation qui vient d’une nature satanique malveillante. C’est aussi une sorte de tempĂ©rament corrompu. Les hommes raisonnent ainsi “Si tu n’es pas gentil avec moi, alors je ne serai pas juste avec toi ! Si tu ne me traites pas avec dignitĂ©, pourquoi te traiterais-je avec dignitĂ© ?” Quel est ce genre de raisonnement ? N’est-ce pas une façon de penser vengeresse ? Dans l’opinion d’une personne ordinaire, ce type de perspective n’est-il pas viable ? Cela ne tient-il pas la route ? “Je n’attaquerai que si je suis attaquĂ© ; si je suis attaquĂ©, je contre-attaquerai certainement” et “Voici la monnaie de ta piĂšce” les incroyants disent souvent de telles choses. Chez eux, ce sont autant de raisonnements qui tiennent la route et sont totalement conformes aux notions humaines. Cependant, comment ceux qui croient en Dieu et recherchent la vĂ©ritĂ© doivent-ils considĂ©rer ces paroles ? Ces idĂ©es sont-elles correctes ? Non. Pourquoi ne sont-elles pas correctes ? Comment les caractĂ©riser ? D’oĂč viennent ces choses ? De Satan. Elles proviennent de Satan, cela ne fait aucun doute. De quel tempĂ©rament de Satan viennent-elles ? Elles viennent de la nature malicieuse de Satan ; elles contiennent du venin et elles contiennent le vrai visage de Satan dans toute sa malice et sa laideur. Elles contiennent l’essence mĂȘme de cette nature. Quelle est la nature des perspectives, des pensĂ©es, des expressions, du discours et mĂȘme des actions qui contiennent l’essence de cette nature ? Ces aspects n’appartiennent-ils pas Ă  Satan ? Ces aspects de Satan sont-ils conformes aux paroles de Dieu ? Sont-ils conformes Ă  la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils basĂ©s sur les paroles de Dieu ? Non. Est-ce que ce sont les actions que les croyants devraient faire et les pensĂ©es et les points de vue qu’ils devraient avoir ? Non » Seule la rĂ©solution de ton tempĂ©rament corrompu peut te libĂ©rer d’un Ă©tat nĂ©gatif », dans Sermons de Christ des derniers jours. Les antĂ©christs ont une nature fĂ©roce. Chez quel genre de personnes est-ce lĂ  le tempĂ©rament principal ? Chez les mĂ©chants. C’est exact. L’aspect principal du tempĂ©rament d’une personne perverse est la fĂ©rocitĂ©. Lorsqu’une personne fĂ©roce est confrontĂ©e Ă  une quelconque exhortation, accusation, instruction ou aide bien intentionnĂ©e, son attitude n’est pas de remercier ni d’accepter cela humblement, mais plutĂŽt de s’emporter et de ressentir une haine extrĂȘme, de l’inimitiĂ© et mĂȘme un dĂ©sir de vengeance. [
] Bien sĂ»r, quand elle exerce sa vengeance contre une personne pour cause de haine, ce n’est pas parce qu’elle garde une vieille rancune, mais parce que la personne en question a exposĂ© ses erreurs. Cela montre que quelle que soit la personne qui le fait et quelle que soit sa relation avec l’antĂ©christ, le simple fait de l’exposer peut provoquer sa haine et susciter sa vengeance. Peu importe de qui il s’agit, si la personne qui le fait comprend la vĂ©ritĂ©, peu importe qu’elle soit un dirigeant, un ouvrier ou un membre ordinaire des Ă©lus de Dieu. Si quelqu’un expose, Ă©monde et traite l’antĂ©christ, celui-ci le traitera comme un ennemi et dĂ©clarera mĂȘme ouvertement “Quiconque me traite, je serai dur avec lui. Quiconque me traite, m’émonde, me vole ma part de bĂ©nĂ©dictions et me fait renvoyer par la maison de Dieu, je ne le laisserai jamais s’en tirer comme ça. C’est comme ça que je suis dans le monde profane personne n’ose me causer des ennuis, celui qui ose m’importuner n’est pas encore nĂ© !” VoilĂ  le genre de propos insolents que tiennent les antĂ©christs lorsqu’ils sont susceptibles d’ĂȘtre Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. Quand ils prononcent ces paroles de colĂšre, ce n’est pas pour intimider les autres ni pour se protĂ©ger. Ce sont de vĂ©ritables promesses de mĂ©chancetĂ©, et ils peuvent s’abaisser Ă  tous les moyens Ă  leur disposition. C’est lĂ  le tempĂ©rament fĂ©roce des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malveillants, et que si quelqu’un les provoquait ou compromettait leur image ou leur statut, ils considĂ©raient cette personne comme un ennemi et s’en vengeaient. Ce sont de vrais dĂ©mons. Si je me comparais aux antĂ©christs, du point de vue du tempĂ©rament et du comportement, n’étais-je pas comme eux ? Si on m’attaque, je riposterai certainement », ƒil pour Ɠil, dent pour dent » et Qui tend le dos, portera le fardeau » je prenais tous ces poisons sataniques pour de bonnes idĂ©es. SƓur Zhang avait soulignĂ© mes problĂšmes bien des fois, elle m’avait discrĂ©ditĂ©e, et j’avais trouvĂ© normal de me venger d’elle. Si je n’avais pas ripostĂ©, les gens auraient cru qu’ils pouvaient me tyranniser et m’exploiter. J’avais eu peur que, si elle m’exposait sans cesse devant tout le monde, la dirigeante pense que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre et qu’elle me renvoie, alors mon avenir et ma situation auraient Ă©tĂ© menacĂ©s. J’avais vu que SƓur Zhang avait rĂ©vĂ©lĂ© un problĂšme que j’avais effectivement, mais je n’avais pas du tout rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. À la place, je l’avais attaquĂ©e, je l’avais traitĂ©e comme une ennemie, et j’avais voulu l’exclure. J’avais vu que SƓur Zhang souffrait de son Ă©tat nĂ©gatif, et que son devoir Ă©tait affectĂ©, mais mĂȘme ça m’avait laissĂ©e indiffĂ©rente. Je m’en Ă©tais pris Ă  elle pour protĂ©ger mes intĂ©rĂȘts personnels, sans tenir compte du travail de l’Église, ni me soucier des souffrances que je lui infligeais. J’avais vraiment Ă©tĂ© malveillante ! J’avais vĂ©cu selon ces poisons sataniques, j’avais manifestĂ© un tempĂ©rament satanique malfaisant et cruel, dĂ©pourvu de la moindre humanitĂ©. Je me suis souvenue d’un antĂ©christ que j’avais rencontrĂ©. Lui aussi aimait qu’on le porte aux nues et qu’on lui parle gentiment, mais quand les frĂšres et sƓurs l’exposaient, ce qui affectait son image et son statut, il les attaquait, se vengeait d’eux, leur en faisait baver, et il rendait les autres nĂ©gatifs et faibles. Il n’acceptait pas que les dirigeants l’exposent, trouvait des raisons de les critiquer, rĂ©pandait des notions et portait des jugements. Il se montrait si perturbateur que le travail de l’Église ne pouvait pas se poursuivre normalement. Les dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui, et l’avaient aidĂ© de nombreuses fois, mais il n’avait pas voulu se repentir. Il avait fini par ĂȘtre renvoyĂ© de l’Église pour tout le mal qu’il avait fait. N’avais-je pas Ă©tĂ© aussi malveillante que lui en me vengeant de SƓur Zhang ? J’ai ressenti du dĂ©goĂ»t et de la haine Ă  cause de mon propre comportement. J’ai dĂ©cidĂ© de me repentir et de changer vĂ©ritablement, de devenir un genre de personne diffĂ©rente. J’ai cherchĂ© les principes concernant la façon de traiter autrui, et de gĂ©rer les choses quand j’avais un parti pris contre un frĂšre ou une sƓur. J’ai trouvĂ© ces paroles de Dieu. Dans la maison de Dieu, quels sont les principes qui rĂ©gissent la façon dont les gens sont traitĂ©s ? Vous devez traiter tout le monde selon les principes de la vĂ©ritĂ©, et vous devez traiter chacun de vos frĂšres et sƓurs Ă©quitablement. Comment les traiter Ă©quitablement ? Cela doit ĂȘtre basĂ© sur les paroles de Dieu, sur qui Dieu sauve et qui Il rejette, sur qui Il aime et qui Il hait ce sont lĂ  les principes de la vĂ©ritĂ©. Les frĂšres et sƓurs doivent ĂȘtre traitĂ©s avec amour, acceptation mutuelle et patience. Les malfaiteurs et les non-croyants doivent ĂȘtre identifiĂ©s, sĂ©parĂ©s et tenus Ă  l’écart. Ce n’est qu’en faisant cela que vous traitez les gens avec des principes. Chaque frĂšre, chaque sƓur a des points forts et des points faibles et tous ont des tempĂ©raments corrompus, si bien que lorsque les gens sont ensemble, ils doivent s’entraider avec amour, ĂȘtre tolĂ©rants et patients et ne doivent pas pinailler ni ĂȘtre trop durs. [
] Tu dois regarder comment Dieu traite les ignorants et les imbĂ©ciles, comment Il traite ceux qui ont une stature immature, comment Il traite les manifestations normales du tempĂ©rament corrompu de l’humanitĂ© et comment Il traite les mĂ©chants. Dieu traite les diffĂ©rentes personnes de diffĂ©rentes maniĂšres et gĂšre la myriade de conditions de diffĂ©rentes personnes de façon variĂ©e. Tu dois comprendre la vĂ©ritĂ© en ces choses. Une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu pourras alors savoir comment faire l’expĂ©rience des questions et traiter les gens selon des principes » Pour obtenir la vĂ©ritĂ©, tu dois apprendre des gens, des situations et des choses autour de toi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Apprenez Ă  travailler en harmonie avec tout le monde et Ă  interagir avec les autres par la vĂ©ritĂ©, la parole de Dieu et les principes, et non par Ă©motion ou impĂ©tuositĂ©. Ainsi, la vĂ©ritĂ© ne rĂ©gnera-t-elle pas dans l’Église ? Tant que la vĂ©ritĂ© rĂšgnera, les choses ne seront-elles pas justes et raisonnables ? Ne pensez-vous pas qu’une coordination harmonieuse est bĂ©nĂ©fique pour tout le monde ? Faire les choses de cette façon est trĂšs bĂ©nĂ©fique pour vous. Tout d’abord, c’est positivement Ă©difiant et chargĂ© de sens pour vous dans le cadre de l’accomplissement de vos devoirs. En outre, cela vous empĂȘche de faire des erreurs, de provoquer des perturbations et des dĂ©rangements et de prendre le chemin des antĂ©christs » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. GrĂące Ă  ces paroles, j’ai vu que Dieu nous disait de traiter tous les types de gens conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Quand les vrais croyants, ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, rĂ©vĂšlent un peu de corruption seulement, en Ă©tant arrogants, trop directs, ou blessants, par exemple, nous devons nous montrer tolĂ©rants et patients, les aider et Ă©changer par amour, et non nous focaliser sur leurs dĂ©fauts. Mais quant aux scĂ©lĂ©rats ou aux antĂ©christs, qui portent des jugements et se dĂ©chaĂźnent, ou qui attaquent dirigeants et collaborateurs, en luttant pour leur statut, ils doivent ĂȘtre exposĂ©s, dissĂ©quĂ©s et renvoyĂ©s. Je savais que SƓur Zhang Ă©tait une croyante authentique, avec un sens de la justice, qu’elle dĂ©fendait le travail de l’Église. Elle Ă©tait juste directe et avait un ton sĂ©vĂšre, mais elle Ă©tait dĂ©pourvue d’intentions malfaisantes. Elle avait soulignĂ© mes problĂšmes pour m’aider Ă  comprendre mon tempĂ©rament corrompu, afin que je ne m’écarte pas du bon chemin et que je ne perturbe pas le travail de l’Église. Elle avait Ă©voquĂ© mes failles dans les rĂ©unions pour que je puisse voir les dĂ©fauts dans mon travail et suivre les principes de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir. Elle protĂ©geait les intĂ©rĂȘts de l’Église. Elle avait montrĂ© une certaine corruption en faisant tout ça, mais je devais me montrer comprĂ©hensive, tolĂ©rante et juste avec elle. En fait, accepter la supervision et les suggestions d’autrui me profite vraiment. J’ai une nature arrogante. J’ai toujours pris les autres de haut et utilisĂ© mon poste pour les rĂ©primander. C’était blessant et contraignant pour eux et je ne le voyais pas. SƓur Zhang m’avait exposĂ©e et elle avait soulignĂ© ces problĂšmes, ce qui m’avait aidĂ©e et avait profitĂ© au travail de la maison de Dieu. Mais je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e et vengĂ©e, j’avais voulu l’ostraciser. J’avais Ă©tĂ© si malveillantes, je n’avais pas eu la moindre humanitĂ©. Voir tout cela m’a contrariĂ©e, je me suis dit que j’étais vraiment redevable Ă  SƓur Zhang. Alors, je lui ai ouvert mon cƓur. Je lui ai dit que j’avais refusĂ© ses conseils et son aide, que je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e contre elle et que je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, en la blessant, et que j’étais arrogante et malveillante. SƓur Zhang ne m’en a pas voulu, mais elle a vu sa propre arrogance, et compris qu’elle parlait sans tenir compte des sentiments des autres, de sorte qu’elle ne les aidait et ne les Ă©difiait pas. Cet Ă©change ouvert a fait disparaĂźtre la barriĂšre qui nous sĂ©parait, et nous nous sommes rapprochĂ©es. J’ai vraiment pu goĂ»ter Ă  la paix que donne la pratique des paroles de Dieu, et su que c’était bien pour moi comme pour les autres. Plus tard, je me suis interrogĂ©e Ă  l’avenir, quand d’autres m’exposeraient et souligneraient mes problĂšmes, quand ma fiertĂ© serait froissĂ©e et que j’aurais des pensĂ©es malveillantes, qu’allais-je devoir faire ? Puis j’ai lu des paroles de Dieu. Lorsque la plupart des gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s, ce peut ĂȘtre parce qu’ils ont rĂ©vĂ©lĂ© des tempĂ©raments corrompus. Ce peut ĂȘtre aussi parce qu’ils ont fait quelque chose de mal par ignorance et ont trahi les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu. Ce peut ĂȘtre aussi parce que leurs tentatives de se dĂ©brouiller dans leur devoir en faisant de l’à-peu-prĂšs ont nui au travail de la maison de Dieu. La raison la plus flagrante, c’est lorsque les gens font ouvertement ce qu’ils veulent sans retenue, violent les principes et perturbent et dĂ©rangent le travail de la maison de Dieu. Ce sont les principales raisons pour lesquelles les gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. IndĂ©pendamment des circonstances qui font qu’une personne est traitĂ©e ou Ă©mondĂ©e, quelle est l’attitude la plus cruciale Ă  avoir Ă  son Ă©gard ? Tout d’abord, il faut que vous l’acceptiez. Quelle que soit la personne Ă  qui vous avez affaire, quelle qu’en soit la raison, que cela paraisse dur ou non et quels que soient le ton et la formulation, vous devez l’accepter. Ensuite, vous devez reconnaĂźtre ce que vous avez fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu vous avez exposĂ© et si vous avez agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. C’est d’abord et avant tout l’attitude que vous devez avoir lorsque vous ĂȘtes Ă©mondĂ©s et traitĂ©s » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. Si tu nourris de la haine envers tes frĂšres et sƓurs, alors tu seras enclin Ă  les rĂ©primer et Ă  te venger sur eux ce serait trĂšs effrayant, et c’est lĂ  le tempĂ©rament d’une personne mauvaise. Certains ont simplement des pensĂ©es et des idĂ©es haineuses des idĂ©es mauvaises, mais ils ne feraient jamais rien de mal. S’ils peuvent s’entendre avec quelqu’un, ils le feront, et sinon ils se distanceront de lui, et cela n’aura pas d’effet sur leur devoir et n’influencera pas leurs relations interpersonnelles normales, parce qu’elles ont Dieu dans leur cƓur et elles Le rĂ©vĂšrent. Elles ne veulent pas offenser Dieu et ont peur de le faire. Ces personnes peuvent avoir certaines pensĂ©es et idĂ©es incorrectes, mais elles sont capables de les rejeter et de les abandonner. Elles font preuve de retenue dans leurs actions, elles ne prononcent mĂȘme pas une seule parole dĂ©placĂ©e et elles ne veulent pas offenser Dieu Ă  ce sujet. Quelqu’un qui parle et agit de cette maniĂšre est quelqu’un qui a des principes et qui pratique la vĂ©ritĂ©. Tu es peut-ĂȘtre incompatible avec la personnalitĂ© de quelqu’un et tu peux ne pas l’aimer, mais quand tu travailles avec lui, tu restes impartial et tu ne vas pas faire Ă©tat de tes frustrations dans l’accomplissement de ton devoir, sacrifier ton devoir ni reporter tes frustrations sur les intĂ©rĂȘts de la famille de Dieu tu peux agir conformĂ©ment aux principes. De quoi est-ce la manifestation ? C’est la manifestation d’une rĂ©vĂ©rence Ă©lĂ©mentaire envers Dieu. Si tu as un peu plus que cela, alors, quand tu repĂšres chez quelqu’un des lacunes ou des faiblesses, mĂȘme s’il t’a offensĂ© ou s’il a un parti pris contre toi, tu es tout de mĂȘme en mesure de le traiter correctement et de l’aider affectueusement. Cela signifie qu’il y a de l’amour en toi, que tu es une personne qui possĂšde de l’humanitĂ©, que tu es quelqu’un qui est gentil et qui peut pratiquer la vĂ©ritĂ©, que tu es une personne honnĂȘte qui possĂšde les rĂ©alitĂ©s de la vĂ©ritĂ© et que tu es quelqu’un qui a de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu. Si tu es encore de petite stature mais que tu as de la volontĂ©, que tu es disposĂ© Ă  lutter pour la vĂ©ritĂ© et pour faire des choses selon les principes, et que tu es capable de gĂ©rer les choses et d’agir vis-Ă -vis des autres selon des principes, alors tu peux ĂȘtre considĂ©rĂ© ayant un peu de rĂ©vĂ©rence pour Dieu c’est la chose la plus fondamentale. Si tu n’en es mĂȘme pas capable et que tu ne peux pas te retenir, alors tu es en grand danger et tu fais vraiment peur. Si on te donnait un poste hiĂ©rarchique, tu punirais les gens et tu leur mĂšnerais la vie dure tu serais alors susceptible de devenir un antĂ©christ Ă  tout moment » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont donnĂ© un chemin de pratique. Si j’étais Ă©mondĂ©e et traitĂ©e, c’est que je devais avoir un problĂšme, ou que j’avais rĂ©vĂ©lĂ© un tempĂ©rament corrompu, ou perturbĂ© le travail de l’Église. Quel que soit le ton employĂ©, et mĂȘme si les mots Ă©taient dĂ©sagrĂ©ables Ă  entendre, je devais d’abord accepter et rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. MĂȘme si ma fiertĂ© s’en trouvait froissĂ©e, mĂȘme si cela me discrĂ©ditait, mĂȘme si j’avais envie de rĂ©sister, je devais avoir de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu, et de la patience et de la tolĂ©rance pour les autres. Je ne pouvais pas me dĂ©chaĂźner ni me venger par corruption. Quand j’ai compris tout ça, je me suis efforcĂ©e de pratiquer la vĂ©ritĂ© et d’entrer dans la vĂ©ritĂ©. Ensuite, dans mon devoir, quand les autres soulignaient mes problĂšmes et froissaient ma fiertĂ©, je m’assurais de commencer par l’accepter, et mĂȘme si des pensĂ©es mĂ©chantes me venaient, je pouvais prier, renoncer Ă  moi-mĂȘme, ne pas ĂȘtre entravĂ©e par mes pensĂ©es et faire passer en premier le travail de l’Église. Je pouvais aussi discuter et chercher avec les frĂšres et sƓurs pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats. AprĂšs avoir agi ainsi pendant un certain temps, j’ai vraiment vu Ă  quel point la supervision et les critiques m’étaient profitables ! Cela m’a rendue davantage capable de mettre en Ɠuvre les principes de la vĂ©ritĂ©, et d’éviter de faire le mal et de m’opposer Ă  Dieu. Dieu soit louĂ© ! GUf0.
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